Librairie Le Feu Follet: Lettres autographes
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CHARDONNE Jacques
Lettre autographe datée et signée adressée à son ami Roger Nimier évoquant le talent Paul Morand et le tout récent accident de voiture de Françoise Sagan : ""Il est l'hygiène et la sagesse incarnées, dans sa personne. Mais il a encanaillé par son oeuvre la jeunesse qui venait après lui. C'est lui qui a failli tuer Sagan. C'est Morand qui achetait les terribles voitures de Sagan. Mais lui sait conduire.""
Paris 29 Avril 1957, 21x27cm, une feuille + une enveloppe. Lettre autographe datée et signée de Jacques Chardonne adressée à son ami Roger Nimier (54 lignes à l'encre bleue) à propos du style de Paul Morand, père spirituel des Hussards, Roger Nimier et Antoine Blondin étant considérés, bien malgré eux, comme chefs de file de ce mouvement littéraire. Traces de pliures inhérentes à la mise sous pli de la lettre, enveloppe jointe. Jacques Chardonne entend battre en brèche deux fausses idées concernant Paul Morand, la première étant d'ordre stylistique : ""Il y a une double méprise touchant Morand. On a vu en lui un ""moderne""... mais il est essentiellement un ""naturaliste"" ; sa doctrine en art est exactement celle de Maupassant et Flaubert."" tenant ce dernier pour un écrivain majeur : ""Mais il a infiniment plus de talent et d'intelligence que les écrivains de l'école naturaliste."" ; la seconde d'ordre psychologique : ""Il est l'hygiène et la sagesse incarnées, dans sa personne. Mais il a encanaillé par son oeuvre la jeunesse qui venait après lui. C'est lui qui a failli tuer Sagan."" Jacques Chardonne ironise ensuite sur les talents de Françoise Sagan tout en exaltant la prédominance et la maîtrise de son ami Paul Morand en tout ce qu'il entreprend de faire : ""C'est Morand qui achetait les terribles voitures de Sagan. Mais lui sait conduire."" tout en se rappelant les conseils de prudence que prodigua Bernard Frank à l'auteur de Bonjour tristesse : ""Bernard Frank dit : elle ne tient pas la route, ta bagniole... Sagan, vexée, accelère. Et tout chavire."" En grand frère de plume, Jacques Chardonne rassure Roger Nimier sur son propre talent : ""Morand est très content de vous. Je dis que Gaston (Gallimard) semble avoir beaucoup d'amitié pour vous."" et félicite son correspondant pour la qualité d'Artaban, revue à laquelle collabore Roger Nimier, Jacques Chardonne étant mis à l'honneur dans un récent numéro : ""... surpris de me voir en première page; le texte me remplit de fierté. J'ai méprisé les honneurs, afin d'être honoré. Je ne pouvais être mieux servi que dans ce petit texte."" et attribue la paternité du texte le concernant à l'un de ses émules Hussards : ""... je me dis : c'est Nimier, ou Hecquet, ou Milliau. A vrai dire, je ne sais. Et je remercie le Seigneur."" Terrassé par tant d'hommages qui lui sont rendus, Jacques Chardonne, lucide, préfère éviter de trop être sous les feux de la rampe : ""Voilà pourquoi je ne veux plus rien publier. Dès que l'on vous applaudit, il faut s'en aller."" Très belle lettre de Jacques Chardonne encensant son ami Paul Morand, père spirituel des Hussards, et évoquant le terrible accident de voiture de Françoise Sagan à bord d'une Aston Martin le 13 Avril 1957. Evocation prémonitoire : Roger Nimier se tuant cinq ans plus tard sur l'autoroute de l'Ouest, le 28 Septembre 1962, également au volant d'une Aston Martin. - Paris 29 Avril 1957, 21x27cm, une feuille + une enveloppe. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]
Librairie Le Feu FolletProfessional seller
Book number: 84396
€  900.00 [Appr.: US$ 976.23 | £UK 765.75 | JP¥ 153483]

 
MESRINE Jacques
Lettre autographe écrite depuis la prison de la Santé datée et signée de Jacques Mesrine adressée à sa compagne Jeanne Schneider qu'il surnomme Nanou d'amour : ""Il n'y a pas de cause perdue d'avance. Dans la vie il faut se battre jusqu'au bout. tu sais pourtant ce que cela représente. Tu vois, moi je vais au maximum ! et pourtant je vais lme défendre toutes dents dehors. Car ma liberté il faudra me la prendre. Je ne la donnerai pas faute de combat ! ""
Paris 12 Octobre 1976, 21x29,5m, une page recto verso. Lettre autographe datée et signée de Jacques Mesrine, datée du mardi 12 Octobre 1976, 70 lignes à l'encre bleue sur une page recto verso adressée à son amour de l'époque, Jeanne Schneider, grâce à qui le manuscrit de l'Instinct de mort fut discrètement sorti de prison. Jacques Mesrine alors incarcéré à la Santé se montre d'une grande tendresse et se dévoile sous un autre jour, celui de l'amoureux affectueux et attentionné : ""Bonsoir petite fille... tu aimes bien jouer ""au St Bernard"", tu ne changeras jamais à ce sujet. C'est toi qui a 7 ans 1/2 de taule et tu dois remonter le moral des ""gamines"" qui ont joué du calibre !"" Il encense et s'étonne un peu de la dévotion de sa compagne pour un couple de jeunes criminels : ""Tu me parles d'une sentence de 20 ans pour elle ! tu rigoles ou quoi... elle ne peut pas prendre plus de 8 ans je la vois plutôt avec 5 ou 6, si les choses s'arrangent. Son mari avec 20 ans au maximum."" et tente de lui transmettre tout son optimisme, sa pugnacité et de lui remonter le moral : ""Tu sais, ma puce; quand tu m'écris que la cause de Michou, est une cause perdue d'avance je ne te comprends plus. Il n'y a pas de cause perdue d'avance. Dans la vie il faut se battre jusqu'au bout. tu sais pourtant ce que cela représente. Tu vois, moi je vais au maximum ! et pourtant je vais me défendre toutes dents dehors. Car ma liberté il faudra me la prendre. Je ne la donnerai pas faute de combat !"" Jacques Mesrine évoque également son amour des courses hippiques tout en se targuant d'être un spécialiste des paris : ""Oui j'avais joué ""Dernier tango"" mais seulement à la place. J'avais 2000frs dessus, je gagne donc 6000frs. Ce n'est pas de la chance, mais un savant calcul. Il m'arrive de perdre mais avec ma méthode, je suis obligé d'être gagnant... Forécement pour la suivre il faut un certain capital. J'ai mis plus d'un an à faire tous les calculs de probabilité. Cela doit me rapporter à peu près 7000frs par mois. Net d'impots (sic)..."" Il ironise sur sa situation de prisonnier disposant de beaucoup de temps pour échaffauder ses stratégies de gains pécuniaires : ""J'ai aussi mis au point une méthode pour le jeu de baccara. Que veux-tu... j'ai le temps de calculer un tac de choses (sic !) Tu me comprends ? ... L'administration aussi ! (resic). "" mais déplore son impossbilité à poursuivre l'écriture de l'Instinct de mort : ""... je suis actuellement incapable d'écrire une page de mon bouquin... je ne sais pas comment tourner ce passage-là... enfin je vais bien trouver la solution."" Jacques Mesrine achève cette belle lettre par une émouvante déclaration d'amour toute d'espoir et d'avenir et toute empreinte d'une certaine innocence: ""Nanou d'amour. Votre futur ""z'époux"" qui pour l'instant n'est que votre ""vieil amant"" pose ses lèvres sur les tiennes en une douce caresse amoureuse... Te quiero & EL VIEJO."" Rare et très belle lettre de l'ennemi public N°1 dans laquelle on le découvre animé d'une grande bienveillance, d'un tendre amour pour son aimée et... les courses hippiques. - Paris 12 Octobre 1976, 21x29,5m, une page recto verso. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]
Librairie Le Feu FolletProfessional seller
Book number: 84669
€  1800.00 [Appr.: US$ 1952.45 | £UK 1531.25 | JP¥ 306966]

 
MESRINE Jacques
Lettre autographe écrite depuis la prison de la Santé datée et signée de Jacques Mesrine adressée à sa compagne Jeanne Schneider qu'il surnomme Nanou d'amour : ""J'ai reçu une lettre de Betty qui me remercie, car je lui ai offerte une mobylette. Pourquoi me diras-tu ? Tout simplement parce que j'aime voir les enfants heureux et je crois que leur bonheur m'est nécessaire. Cette môme me plaît de par sa mentalité...""""
Paris 11 Octobre 1976, 21x29,5m, une page recto verso. Lettre autographe datée et signée de Jacques Mesrine, datée du lundi 11 Octobre 1976, 70 lignes à l'encre bleue sur une page recto verso adressée à son amour de l'époque, Jeanne Schneider, grâce à qui le manuscrit de l'Instinct de mort fut discrètement sorti de prison. Jacques Mesrine, alors incarcéré à la Santé, couvre de cadeaux les personnes qu'il aime car il veut leur bonheur : ""Comme cela j'ai payé une mobylette à mes trois gamines. Toi ce sera une quatre roues (sic)."" Il fait montre de toute son affection pour une jeune fille prénommée Betty qu'il semble plus chérir que sa propre fille Sabrina : ""Peut-être que je recherche en Betty ce que je ne trouve pas en Sabrina et que Mury m'a refusé ! Tu sais mon ange ; à 15 ans j'aurais tellement aimé avoir un copain de 40 ans à qui je puisse tout dire, qui sache m'aider ou m'offrir mon rêve. Peut-être que ce cadeau, je me le fais à moi-même..."" pour laquelle il n'a plus aucune confiance, s'estimant trahi : ""Mais on ne devient jamais l'ami de quelqu'un qui vous juge. Pas plus que pour Sabrina ! qui elle m'a trompé dans ma confiance donc dans mon amour... Quand on use les sentiments, ils ne redeviennent jamais les mêmes."" L'ennemi public N°1 est tout à la fierté de sa relation avec Jeanne Schneider basée sur la franchise : ""C'est peut-être pour cela que je me suis toujours refusé à te mentir - quitte à te faire souffir. Je n'ai aucun passé...mais un seul présent ""Toi"". C'est peut-être cela qui fait que notre amour dure depuis 10 ans "" Jacques Mesrine bascule ensuite dans les considérations matérielles, si importantes pour un prisonnier : ""J'ai reçu ton linge. Je ne risque pas d'avoir froid cet hiver. Le polo est très bien."" avant de fustiger l'inhumanité du régime carcéral et son indifférence à la souffrance : ""Mais nous n'avons rien à attendre des juges et si ma lettre au président a été ferme, c'est le genre de lettre qu'il comprendra mieux que le style ventre à terre..."" En éternel indompté, Jacques Mesrine ne cesse de préconiser la lutte contre l'administration pénitentiaire : ""On ne se défend pas en mettant sa tête dans le sable comme l'autruche ! Dès l'instant où l'on prend une arme dans la main... il faut s'attendre à payer ! que Michou le comprenne ce n'est pas le moment d'être ""bébé"" mais celui d'être femme..."" Jacques Mesrine achève cette belle lettre par une émouvante déclaration d'amour toute empreinte d'un humour optimiste : ""Ton vieux tigre pose de doux bécots sur tout ce qui est toi. Bonne nuit chaton et un moral d'acier est de rigueur ok. Je t'adore (chanceuse) & Ton mystère Jacques !! ""Te adoro A toi seule."" Rare et très belle lettre de l'ennemi public N°1 dans laquelle on le voit toujours aussi pugnace et où on le découvre déçu par sa fille, pris d'affection pour une jeune fille qu'il voudrait considérer comme sa propre enfant, et toujours aussi amoureux de sa compagne. - Paris 11 Octobre 1976, 21x29,5m, une page recto verso. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]
Librairie Le Feu FolletProfessional seller
Book number: 84675
€  1800.00 [Appr.: US$ 1952.45 | £UK 1531.25 | JP¥ 306966]

 
MESRINE Jacques
Lettre autographe signée de Jacques Mesrine écrite depuis la prison de Fleury-Mérogis au soir du Réveillon du 31 Décembre 1976 adressée à sa compagne Jeanne Schneider qu'il surnomme Nanou d'amour à propos de la parution de son livre l'Instinct de mort: ""Tu sais j'ai bien réfléchi pour le bouquin... il doit y avoir veto quelque part... car s'il était publié cela retarderait mes procès ou un truc dans ce genre...""
Fleury-Mérogis 31 Décembre 1976, 21x29,5m, une page recto verso. Lettre autographe datée et signée de Jacques Mesrine, datée du vendredi 31 Décembre 1976, 70 lignes environ à l'encre bleue sur une page recto verso adressée à son amour de l'époque, Jeanne Schneider, grâce à qui le manuscrit de l'Instinct de mort fut discrètement sorti de prison. Jacques Mesrine, alors incarcéré à la prison de Fleury-Mérogis, s'interroge sur les difficultés qu'il pourrait rencontrer si son Instinct de mort paraissait bientôt et chez quel éditeur suffisamment courageux il pourrait être édité : ""Je vais voir avec mon avocate pour les ""presses de la cité"" car je crois que l'on peut tirer un trait sur Simone. De toute façon il sera publié par celui acceptera d'en courir le risque (sic)"" Il conseille aussi sa bien-aimée sur ses conditions de travail : ""Au sujet de ton boulot... j'espère que tu as discuté avec ta patronne, car les horaires ne sont pas légaux. ne te laisse pas faire à ce sujet. Vis à vis du procureur tu es obligé de travailler... cela ne veut pas dire être esclave au boulot."" et s'inquiète pour l'avenir de sa fille Sabrina : ""Demain j'espère la visite de la puce. je vais avoir une très sérieuse conversation avec elle au sujet de l'avenir. Car elle ne fait rien en classe... donc le mieux pour elle est de travailler pour obtenir un CAP en quelque chose. Elle veut jouer les adultes... alors, il va falloir qu'elle se conduise en adulte."" L'ennemi public N°1 évoque la nouvelle année à venir : ""...l'année nouvelle qui s'annonce... que nous réservera-t-elle... je l'ignore mais rien de bon si la logique se fait loi. cela ne m'empêchera pas de garder mon moral."" Jacques Mesrine, seul dans sa cellule au soir du réveillon du 31 décembre, termine cette belle lettre par d'affectueuses pensées pour Jeanne Schneider : ""Ce soir j'ai la tête un peu vide... tu comprends mais j'ai le coeur plein de toi et c'est cela qui compte... je vais me mettre dans les draps et penser à toi. Ton vieux voyou pose de tendres bécots sur tout ce qui est toi. Bonne nuit chaton. Te quiero."" et par cette note d'humour : ""...tu connais cette blague : c'est une femme condamnée mort... arrivée devant la guillotine elle embrasse le verre que l'on vient de lui servir. Le procureur demande : ""elle est folle, que fait-elle"". L'avocat lui répond ""elle embrasse son dernier rhum"" (sic) Pas mal hein. un petit sourire ma puce."" Rare et très belle lettre de Jacques Mesrine dans laquelle on le voit préoccupé par l'avenir de sa fille, où il se montre conseiller syndical et soucieux pour la parution de son ouvrage l'Instinct de mort. - Fleury-Mérogis 31 Décembre 1976, 21x29,5m, une page recto verso. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]
Librairie Le Feu FolletProfessional seller
Book number: 84696
€  1800.00 [Appr.: US$ 1952.45 | £UK 1531.25 | JP¥ 306966]

 
MESRINE Jacques
Lettre autographe datée et signée de Jacques Mesrine écrite depuis la prison de Fleury-Mérogis adressée à sa compagne Jeanne Schneider alors incarcérée et qui pourrait être prochainement libérée : ""Je ne veux plus te voir en prison car toi dehors c'est un peu de moi même qui sera libre. Tu donnes une parole pour cette liberté... prouve que nous autres, la tenons toujours en bien comme en mal. C'est ce qui nous unit le plus ; voyous, dangereux ?... mais droits""
Fleury-Mérogis 21 Octobre 1976, 21x29,5m, une page recto verso. Lettre autographe datée et signée de Jacques Mesrine, datée du jeudi 21 Octobre 1976, 70 lignes à l'encre bleue sur une page recto verso adressée à son amour de l'époque, Jeanne Schneider, grâce à qui le manuscrit de l'Instinct de mort fut discrètement sorti de prison. Jacques Mesrine, alors incarcéré à la prison de Fleury-Mérogis, se réjouit d'avoir pu s'entretenir au parloir avec sa bien-aimée également emprisonnée : ""Quel très agréable parloir, tu étais en plus très féminine dans cet ensemble qui est bien dans ton style de femme... même le double du prix car il me plaît"" et tente de la rassurer afin qu'elle ne perde pas toute pugnacité contre le régime carcéral qui broie les détenus : ""Mais si par malheur un nouveau refus te touchait n'aies pas cette mauvaise réaction que tu m'as dite car ceux qui t'entourent et t'ont aidée ne méritent pas de payer l'injustice des autres. Il te faudrra faire face comme toujours. Car les portes s'ouvriront un jour et tu le sais."" En patriarche protecteur, Jacques Mesrine s'inquiète du désespoir qui pourrait la frapper elle et sa fille Murielle placée à la DASS : ""Mais pour toi je m'en fais énormément, car tu as une limite... et je crois que tu l'as atteinte ! ou presque... Au sujet de Mury et de cette juge bidon... nous verrons pour la retirer de la Dasse... je préfère payer ses études et madame Chevallier et tout son entretien s'il le faut. Si tu sors ! Dis-moi... que de femmes à entretenir... j'ai intérêt à faire des heures supplémentaires (sic)"" L'ennemi public N°1 évoque la prochaine liberté de Jeanne Schneider en lui intimant de ne plus retomber dans la criminalité : ""...Si tu sors interdiction formelle de t'occuper de moi sur un plan que nous comprenons très bien tous les deux. Je ne veux plus te voir en prison car toi dehors c'est un peu de moi même qui sera libre. Tu donnes une parole pour cette liberté... prouve que nous autres, la tenons toujours en bien comme en mal"" Jacques Mesrine loue la droiture de sa compagne, clef de voûte de leur union forte à travers la privation de liberté : ""C'est ce qui nous unit le plus ; voyous, dangereux ?... mais droits. C'est ce qui fait que je t'aime, avec toi pas de surprises désagréables ; tu es ""blanc-bleu"" et pour moi tu as bien la valeur du diamant. C'est la seule pierre qui est plus dure que l'acier (sic)... mais moins dure que moi (resic)"" Il termine cette missive par cette note d'humour traduisant la terrible réalité intrusive du système pénitentiaire : ""Et si mon colis de Noël est préparé par toi... l'administration va le passer aux rayons X"" mais aussi par ces tendres mots : ""De doux décots se posent sur tes lèvres... geste d'amour qui nous unit depuis toujours et pour longtemps... EL VIEJO Bandido !"" Rare et très belle lettre de Jacques Mesrine dans laquelle on le découvre protecteur et avide de liberté pour sa compagne et pour qui la franchise doit être érigée en règle de vie. - Fleury-Mérogis 21 Octobre 1976, 21x29,5m, une page recto verso. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]
Librairie Le Feu FolletProfessional seller
Book number: 84739
€  1800.00 [Appr.: US$ 1952.45 | £UK 1531.25 | JP¥ 306966]

 
PERRET Jacques
Lettre autographe adressée à Roger Nimier
s.l. s.d. [ca 1960], 13,5x18cm, une page. Lettre autographe signée de Jacques Perret, 33 lignes à l'encre noire, adressée à un confrère, probablement Roger Nimier, s'excusant de n'avoir pu se rendre à réunion organisée par la revue Arts. Trace de pliure inhérente à la mise sous pli. Faute de temps, Jacques Perret n'a pu honorer sa promesse d'écrire une préface demandée par son correspondant : ""... si vous êtes pressé et que vous avez sous la main un préfacier de rechange, n'ayez aucun scrupule bien sûr car je ne saurai vous livrer un travail convenable avant mon retour..."" Jacques Perret évoque ensuite sa passion du rugby : ""Sur le recentrage de Rancoule (trois-quarts aile du Stade Toulousain dont il intègre ensuite le staff)... j'ai donc eu la joie de déborder en défense du Cardinal et d'aller à l'essai. Il me reste à le transformer en allant embrasser mon cher Raoul à cette armée des Princes dont nous attendons toujours les merveilles..."" Jacques Perret, écrivain royaliste, farouche partisan de l'Algérie française et virulement anti-gaulliste, fut déchu de ses droits civiques puis en 1963, rayé du contrôle de la médaille militaire malgré les protestations de certains de ses confrères écrivains, subodore que ses prises de positions politiques ne favorisent pas les décorations honorifiques : ""Je trouve qu'on nous a fait signer un manifeste manifestement destiner à torpiller mon ruban."" - s.l. s.d. [ca 1960], 13,5x18cm, une page. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]
Librairie Le Feu FolletProfessional seller
Book number: 84817
€  350.00 [Appr.: US$ 379.64 | £UK 297.75 | JP¥ 59688]

 
PERRET Jacques
Lettre autographe adressée à Roger Nimier évoquant son amtié et son admiration pour Antoine Blondin : ""Quand vous verrez Blondin, dites lui que ma pensée le suit dans sa gloire et qu'il veuille réserver un 1/2 setier de son pactole à boire...""
s.l. s.d. [ca 1960], 21x27cm, une page. Lettre autographe signée de Jacques Perret, 22 lignes à l'encre noire, adressée à un confrère, probablement Roger Nimier. Trace de pliure inhérente à la mise sous pli. Jacques Perret attend un courrier de Roger Nimier qui a pris du retard: ""Votre mot m'est arrivé avec retard, vu que j'habite plus rue de la clé mais 5 rue de l'Ancienne Comédie. Gordon Pym n'est pas encore arrivé, mais ça ne m'étonne pas de lui."" et s'enquiert de la santé de son correspondant : ""... j'ai appris que vous aviez eu des ennuis avec le coeur ; avant peu j'irai voir si tout est rentré dans l'ordre."" ll s'enthousiasme pour le succès que rencontre son ami Antoine Blondin : ""Quand vous verrez Blondin, dites lui que ma pensée le suit dans sa gloire et qu'il veuille réserver un 1/2 setier de son pactole à boire, le jour venant... Dites lui également que mon garçon qui fonctionne en Kabylie serait fort merlin d'un mot ou d'un singe apostillé."" Jacques Perret, écrivain royaliste, farouche partisan de l'Algérie française et virulement anti-gaulliste, fut déchu de ses droits civiques puis en 1963, rayé du contrôle de la médaille militaire malgré les protestations de certains de ses confrères écrivains, subodore que ses prises de positions politiques ne favorisent pas les décorations honorifiques : ""Je trouve qu'on nous a fait signer un manifeste manifestement destiner à torpiller mon ruban."" - s.l. s.d. [ca 1960], 21x27cm, une page. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]
Librairie Le Feu FolletProfessional seller
Book number: 85174
€  350.00 [Appr.: US$ 379.64 | £UK 297.75 | JP¥ 59688]

 
MESRINE Jacques
Lettre d'amour autographe datée et signée de Jacques Mesrine écrite depuis la prison de Fleury-Mérogis et adressée à sa compagne Jeanne Schneider à propos du combat pour sa liberté provisoire : ""Mais le plus important est que tu retrouves cette pute de liberté. Après ce sera aux avocates de jouer pour un régime plus souple... Je te parle comme si tu étais déjà libre...Que ""veux-tu"" j'y crois. [...] Je lutte et je lutterai toujours pour toi car je t'aime...""
Fleury-Mérogis 18 Octobre1976, 21x29,5m, une page recto verso. Lettre autographe datée et signée de Jacques Mesrine, datée du lundi 18 Octobre1976, 68 lignes à l'encre bleue sur une page recto verso adressée à son amour de l'époque, Jeanne Schneider, grâce à qui le manuscrit de l'Instinct de mort fut discrètement sorti de prison. Jacques Mesrine, alors incarcéré à la prison de Fleury-Mérogis, tient à rassurer son amour à qui il vient en aide, grâce à ses avocates, afin qu'elle obtienne une liberté privisoire : ""C'est que je sens que cela va être bon et cela malgré que les avocates m'avaient déconseillé de le faire... tu sais que je fais de la prémonition (mais dans le bon sens). Je sais que ma lettre les fait réfléchir... cela j'en suis certain. C'est la première fois que j'interviens pour toi. Ca aussi a de l'importance..."" et grâce à qui elle devrait recouvrer la liberté : ""Mais le plus important est que tu retrouves cette pute de liberté. Après ce sera aux avocates de jouer pour un régime plus souple... Je te parle comme si tu étais déjà libre...Que ""veux-tu"" j'y crois."" Débordant d'enthousiasme et de certitude pour le succès de ces démarches regardant la liberté provisoire de Jeanne et sûr du poids de son intervention, l'indomptable Mesrine fulmine à l'idée d'un hypothétique refus des autorités carcérales : ""Quel affreux pirate qui te donne de l'espoir. Non mon ange, je ne sais absolument rien. Sauf que le Président a dit que je le menaçais sur ma lettre. J'ai été très dur et à juste raison, car la plaisanterie a assez durée. Toi tu supporteras ton refus.. moi je ne l'accepterai plus. C'est pas plus compliqué que cela. Car tu as assez payé... même trop..."" L'ennemi public N°1 en profite encore pour briser cette réputation de fauve sanguinaire qui lui colle à la peau : ""Si les journalistes savaient que toutes les infirmières entraient seules dans ma cellule et en toute confiance, on serait loin du ""fauve"" et de la prise d'otages à la Buffet. Les infirmières ont toujours été sacrées pour moi. Elles sont intouchables comme pas mal d'autres personnes, mais cela les pédés de journalistes l'ignorent ; car ils ne sont pas dans mes pensées et c'est regrettable parfois. "" Jacques Mesrine évoque la réalisation de son ouvrage L'instinct de mort et sa santé de manière fataliste : ""Autrement tout est ok, sauf mes douleurs au coeur qui me reprennent... mais je laisse faire, car je n'aime pas prendre de médicaments. Et puis le mécanisme s'arrêtera le jour ""J"" du destin. Peut-être dans tes bras... qui sait ? Il termine sa lettre toujours plein d'espoir pour la libération prochaine de sa bien-aimée : ""Ce qui compte pour moi c'est de te voir libre et fini les folies, car je ne veux plus te voir retourner en prison. Je n'ai besoin que de ton amour. Le reste, c'est mon affaire. [...] Je t'adore vivement que l'on ouvre ta cage. Bonne nuit chaton et garde confiance ok."""" Rare et très belle lettre de Jacques Mesrine dans laquelle il démontre toute sa farouche ardeur et son indestructible conviction dans son combat pour la libération de sa bien-aimée. - Fleury-Mérogis 18 Octobre1976, 21x29,5m, une page recto verso. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]
Librairie Le Feu FolletProfessional seller
Book number: 85089
€  1800.00 [Appr.: US$ 1952.45 | £UK 1531.25 | JP¥ 306966]

 
COCTEAU Jean
Appogiatures - Manuscrit autographe d'une version primitive en partie inédite
Saint-Jean-Cap-Ferrat août 1952, 47 feuillets de 20,8x34cm et 5 feuillets de 21x27cm , 52 pages. Manuscrit autographe de Jean Cocteau, version primitive du recueil de poèmes Appogiatures - publié en 1953 aux Éditions du Rocher à Monaco - constitué de 47 feuillets de papier fort prélevés d'un grand bloc à dessins et de 5 feuillets plus petits de papier fin, rédigés à l'encre bleue et au stylo à bille bleu. Nombreuses ratures et corrections. Les feuillets sont numérotés jusqu'à 25 (dont un numéro 8 bis) et présentent pour la plupart une petite croix ou la mythique étoile coctienne. Le dernier feuillet, contenant le poème intitulé « Lettre », est daté de la main du poète du 15 août 1952. Rédigé également de la main de Cocteau, le premier feuillet porte le titre final, au-dessus duquel est barré le titre initialement envisagé - Soucoupes volantes - la date de 1952 et le lieu - St Jean Cap Ferrat ; y apparaît également une dédi­cace raturée : « À la mémoire de Baudelaire et de Max Jacob qui nous apprirent ces exercices de style. » Si la lecture du recueil permet de percevoir l'influence des Petits Poèmes en prose de Baudelaire et du Cornet à dés de Max Jacob, cet hommage ne sera pas conservé à l'impression et remplacé par une dédicace à l'éditeur Henri Parisot. Exceptionnel ensemble contenant 33 des 51 poèmes publiés, 11 textes écartés sur les conseils de l'éditeur Henri Parisot et publiés dans « En marge d'Appogiatures » (Œuvres poétiques complètes de la Pléiade, pp. 818-831) et 6 inédits. David Gullentops, dans l'édition des Œuvres poétiques complètes de Jean Cocteau à la Pléiade, signale l'existence d'un second ensemble de manuscrits et tapuscrits, conservés à la Bibliothèque His­torique de la Ville de Paris (BHVP). Il in­dique en outre qu'il n'a eu accès à aucun manuscrit du poème « Lanterne sourde ». Ce dernier fait pourtant bien partie de notre ensemble qui serait donc la première version du recueil envisa­gée par Cocteau. Jean Cocteau commença la rédaction de ce recueil de poèmes en vers et proses, sollicité par son ami l'éditeur Henri Pa­risot, fin juillet 1952 alors qu'il se trou­vait à Saint-Jean-Cap-Ferrat dans la villa Santo-Sospir de Francine Weisweiller. La première version du recueil est achevée à la mi-août, comme en attestent les deux dates sur notre manuscrit (« août 1952 » et « 15 août 1952 ») et cette occurrence dans le journal de Cocteau : « J'ai termi­né la mise au point des courts poèmes en prose pour Parisot. Il y en aura vingt-six, à moins que le mécanisme continue, ce que je ne souhaite pas car, à la longue, ces exercices d'écriture, illustrés par Baude­laire et Max Jacob, fatiguent. » (Le Passé défini, Tome 1, 1951-1952, 14 août 1952) Notre ensemble serait donc le mélange des premiers poèmes adressés à Henri Pa­risot, rédigés à la plume, et de quelques textes ajoutés, écrits quant à eux au stylo à bille. Cette hypothèse est confortée par la rédaction du titre final Appogiatures sur la page de titre de notre manuscrit ; Coc­teau relate ce changement, toujours dans son journal, en date du 29 août 1952 : « Ai [...] classé les poèmes pour Parisot sous le titre : Appogiatures. » Notre version manuscrite précoce com­porte d'importantes variantes concer­nant les titres des poèmes ; ainsi le poème « Livre de bord » s'intitulait initiale­ment « Le Spectacle », de même pour « Au poil » pour lequel Cocteau avait préalablement choisi « La langue fran­çaise » ou encore « Le tableau noir » originellement titré « Le lièvre et la tortue ». L'ordre des poèmes a égale­ment été considérablement modifié pour l'impression : notre ensemble atteste que Cocteau souhaitait commencer le recueil par « Le voyageur », qui sera finalement remplacé par « Seul » et passera en deu­xième position. On soulignera également dans notre dossier la présence de huit poèmes intégralement en vers : ils seront retirés, Appogiatures devenant un recueil exclusivement en proses. L'ensemble, abondamment raturé et cor­rigé, présente en outre de longs passages supprimés dans la version publiée, par exemple ce très bel extrait du poème « Scène de ménage » évoquant la « com­tesse » Francine Weisweiller : « Et les larmes de la comtesse se disaient : nous sommes la mer. Et la mer se disait : Je suis les larmes de la com­tesse. Et les vagues se disaient : je suis la bave du comte. Et le comte se disait : je suis les vagues. » ; de même pour la conclusion du « Fantôme réaliste » : « Il en serait mort de honte, si la mort n'était interdite aux fantômes. Un jour, de rage, il décida de lancer l'école du réa­lisme fantomatique. Et, fort vite, ce furent les autres fantômes qui, sans succès, voulurent le suivre. » ou en­core pour dix-sept vers du « Cœur au ventre » (feuillet 25 de notre manuscrit, retranscrit dans « En marge d'Appogia­tures ») : « [...] Douce douce était la terre / Douce à la main douce au cœur / Il est injuste de le taire / De quoi donc auriez-vous peur / sol­dats abandonnant vos armes / Vous devez défendre ses charmes / Car douce est la douleur [...] » Enfin, ce remarquable ensemble contient six poèmes absolument inédits (« Le pêcheur », « Antibes », « Art poétique », « Sous toute ré­serve », « L'accordéonaniste » et « Lettre ») n'apparaissant ni dans un re­cueil postérieur de Jean Cocteau ni dans « En marge d'Appogiatures » dans la Pléiade. Provenance : collection Carole Weisweil­ler, fille de Francine Weisweiller. Cocteau fit la connaissance de Francine Weisweil­ler, productrice des Enfants terribles, en 1949. La carrière du poète opiomane était alors en déclin et cette nouvelle amie, de près de trente ans sa cadette, lui donna un second souffle. Elle lui ouvrit les portes de son hôtel particulier place des États-Unis et surtout celles de sa villa à Saint-Jean- Cap-Ferrat sur les murs de laquelle Coc­teau peint de superbes fresques. Francine devint la muse et la mécène de Jean et jouera de son influence pour le faire en­trer à l'Académie française. - Saint-Jean-Cap-Ferrat août 1952, 47 feuillets de 20,8x34cm et 5 feuillets de 21x27cm , 52 pages. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]
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Book number: 83726
€  8500.00 [Appr.: US$ 9219.91 | £UK 7230.5 | JP¥ 1449563]

 
HELION Jean
Carte postale autographe signée adressée à Raymond Queneau
Venise 13 septembre 1949, 17,4x13,8cm, une carte postale. Carte postale autographe signée de Jean Hélion adressée à Raymond Queneau, rédigée à l'encre bleue au verso d'une reproduction de gravure ancienne en couleurs représentant la course du Palio sur la Piazza del Campo à Sienne. Manques marginaux et pliures. ""Ne vous ayant trouvés ni à Sienna, ni en Calabre, ni au Harris-Bar, ce sont les Rousset je crois que je ramène samedi prochain ! [...] Nous avons fait un tour invraisemblable, Sicile incluse et je reviens remonté à claquer."" - Venise 13 septembre 1949, 17,4x13,8cm, une carte postale. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]
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Book number: 75708
€  400.00 [Appr.: US$ 433.88 | £UK 340.5 | JP¥ 68215]

 
PAULHAN Jean
Carte postale autographe signée adressée depuis Capri à Felia Leal : ""Il fait ici une chaleur inhumaine. De plus il y a trop de gens très riches...""
Capri s.d. (circa 1955), 15x10,5cm, une carte postale. Carte postale autographe signée de Jean Paulhan, 30 lignes rédigées à l'encre bleue au verso d'une reproduction photographique représentant une vue de Capri, adressée l'éditrice Felia Leal, notamment de l'ouvrage ""Paroles transparentes"", ouvrage de Jean Paulhan illustré par Georges Braque. Elle a également crit des contes pour enfants. Jean Paulhan livre ses impressions mitigées sur l'Italie, ses paysages et ses monuments : ""Il faut renoncer aux paysages trop beaux...Pour les églises et les monuments, la meilleure solution, je crois, serait d'y jeter un coup d'oeil, de bien recevoir le choc, et puis s'en aller. L'attention affaiblit tout."" - Capri s.d. (circa 1955), 15x10,5cm, une carte postale. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]
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Book number: 84466
€  250.00 [Appr.: US$ 271.17 | £UK 212.75 | JP¥ 42634]

 
LAUDENBACH Roland & GIONO Jean
Carte postale autographe adressée à son ami Roger Nimier enrichi de quelques mots de Jean Giono lui souhaitant une bonne année
Manosque 17 Octobre 1959, 14x9cm, une feuille + une enveloppe. Carte postale autographe signée de Roland Laudenbach, 9 lignes à l'encre bleue, et de Jean Giono, 3 lignes, adressée depuis Manosque à Roger Nimier. Enveloppe jointe. Amusante pensée manuscrite de Roland Laudenbach, fondateur des éditions de la Table Ronde qui publia les principaux Hussards dont Roger Nimier et Antoine Blondin, qui en furent les chefs de file : ""Cher Roger, la littérature, comme tu le vois, finit par être reconnue par l'art, même à Manosque. C'est bien encourageant. Bonne année tout de même, et merci pour tout. Roland."" Jean Giono présentant également ses voeux à Roger Nimier : ""Bonne amitié et bonne année. Jean Giono."" - Manosque 17 Octobre 1959, 14x9cm, une feuille + une enveloppe. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]
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Book number: 85236
€  180.00 [Appr.: US$ 195.25 | £UK 153.25 | JP¥ 30697]

 
COCTEAU Jean
Enveloppe portant l'adresse manuscrite de l'écrivain et journaliste Olivier Quéant rédigée par Jean Cocteau
Milly-la-Forêt 8 Janvier 1951, 14,5x11cm, une enveloppe. Enveloppe manuscrite adressée par Jean Cocteau à son ami Olivier Quéant adressée depuis sa maison de Milly-la-Forêt, 4 lignes à l'encre noire. - Milly-la-Forêt 8 Janvier 1951, 14,5x11cm, une enveloppe. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]
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Book number: 85234
€  100.00 [Appr.: US$ 108.47 | £UK 85.25 | JP¥ 17054]

 
COCTEAU Jean
Enveloppe portant l'adresse manuscrite de l'écrivain et journaliste Olivier Quéant rédigée par Jean Cocteau
Saint Jean-Cap-Ferrat 27 Septembre 1954, 14,5x11cm, une enveloppe. Enveloppe manuscrite adressée par Jean Cocteau à son ami Olivier Quéant adressée depuis Saint Jean Cap-Ferrat, 4 lignes à l'encre bleue. - Saint Jean-Cap-Ferrat 27 Septembre 1954, 14,5x11cm, une enveloppe. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]
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Book number: 85235
€  100.00 [Appr.: US$ 108.47 | £UK 85.25 | JP¥ 17054]

 
DUTOURD Jean (RIMEIZE Jean)
Lettre autographe signée de Jean Dutourd à Jean Rimeize
Paris 22 juin 1979, 13,5x21cm, 2 pages sur une feuille. Lettre autographe signée de Jean Dutourd à Jean Rimeize, écrite à l'encre noire, enveloppe jointe. Date en haut de la lettre et signature de Jean Dutourd au bas de la lettre, adresse parisienne de Jean Dutourd sur l'enveloppe. Trace de pliure inhérente à l'envoi postal. L'académicien envoie cette lettre pour remercier son destinataire pour le papier qu'il a écrit suite à une rencontre entre les deux hommes. Jean Dutourd écrit qu'il fera relier cet article dès qu'il le pourra. - Paris 22 juin 1979, 13,5x21cm, 2 pages sur une feuille. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]
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Book number: 62633
€  60.00 [Appr.: US$ 65.08 | £UK 51.25 | JP¥ 10232]

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