Librairie Le Feu Follet: Lettres autographes
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DURRELL Lawrence
Carte postale autographe signée de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun : ""Tout le monde chez Bernard Stone demande de vos nouvelles""
London 29-11-1980, 10,2x15,3cm, une carte postale. Carte postale autographe signée ""Larry"" de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun, rédigée aux feutres rouge et noir, au verso d'une reproduction d'une liste rose parisienne. L'écrivain, nostagique, donne des nouvelles depuis Londres alors qu'il s'apprête à signer son dernier livre chez le libraire londonien Bernard Stone. Sa librairie était connue et désignée par le poète Michael Horowitz comme ""the merriest backwater of that time"" : ""Tout le monde chez Bernard Stone demande de vos nouvelles : ils me prient de te rappeler le changement d'adresse. Il est à Covent Garden maintenant. C'est là que je signe ce soir. Nostalgie, grisailles, souvenirs"". Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuir Chypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son roman Bitter Lemons of Cyprus (Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la « maison Tartès », sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son œuvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante ""Jany"" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée « Buttons » en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de « Buttons », louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des œuvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. - London 29-11-1980, 10,2x15,3cm, une carte postale. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]
Librairie Le Feu FolletProfessional seller
Book number: 73357
€  130.00 [Appr.: US$ 141.01 | £UK 110.75 | JP¥ 22170]

 
DURRELL Lawrence
Carte postale autographe signée de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun : ""Pour notre dernier jour de tournage on va filmer Pharaon""
Egypte [1971], 10,5x15cm, une carte postale. Carte postale autographe signée ""Larry"" de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun, rédigée au feutre noir, au verso d'une photo de bas-relief égyptien. L'écrivain à sa jeune amante montpelliéraine : ""Pour notre dernier jour de tournage on va filmer Pharaon en train de recevoir le Prix Bonbel pour son roman sur la vie privée d'un crocodile nilotique : ""Le croc"". Puis il faut rentrer pour quelques semaines à Londres. j'espère que tout va bien, dear Buttons."". Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuir Chypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son roman Bitter Lemons of Cyprus (Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la « maison Tartès », sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son œuvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante ""Jany"" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée « Buttons » en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de « Buttons », louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des œuvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. - Egypte [1971], 10,5x15cm, une carte postale. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]
Librairie Le Feu FolletProfessional seller
Book number: 73360
€  150.00 [Appr.: US$ 162.7 | £UK 127.75 | JP¥ 25581]

 
DURRELL Lawrence
Carte postale autographe signée de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun : ""L'amérique est plein de fric, de frustrées et d'ennui.""
Malibu s. d., 10,5x15cm, une carte postale. Carte postale autographe signée de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun, rédigée au feutre noir, au verso d'une photo d'une plage de Malibu. ""Buttons hola ! L'amérique est plein de fric, de frustrées et d'ennui. Pourtant on est très bien traités et je joue un peu le rôle de Scott Fitzgerald à Malibu."". Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuir Chypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son roman Bitter Lemons of Cyprus (Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la « maison Tartès », sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son œuvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante ""Jany"" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée « Buttons » en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de « Buttons », louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des œuvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. - Malibu s. d., 10,5x15cm, une carte postale. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]
Librairie Le Feu FolletProfessional seller
Book number: 73367
€  150.00 [Appr.: US$ 162.7 | £UK 127.75 | JP¥ 25581]

 
DURRELL Lawrence
Carte postale autographe signée de Lawrence Durrell adressée depuis Edimbourg à Jani Brun : ""Si tu es libre de me joindre... faites moi signed""
Edimbourg 4 octobre 1980, 10x14,5cm, une carte postale + une enveloppe. Suggestive carte postale autographe signée de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun, rédigée au feutre violet, au verso d'une reproduction de sculpture représentant un satyre, enveloppe jointe. ""Buttons dear. J'arrive mardi pour deux nuits à Paris - au Royale. Si tu es libre de me joindre... faites moi signed. Suis fatigué après Athens, Londres, Edinburgh! Love. Larry Durrell."" Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuir Chypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son roman Bitter Lemons of Cyprus (Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la « maison Tartès », sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son œuvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante ""Jany"" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée « Buttons » en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de « Buttons », louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des œuvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. - Edimbourg 4 octobre 1980, 10x14,5cm, une carte postale + une enveloppe. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]
Librairie Le Feu FolletProfessional seller
Book number: 83025
€  150.00 [Appr.: US$ 162.7 | £UK 127.75 | JP¥ 25581]

 
DURRELL Lawrence
Carte postale autographe signée adressée à Jani Brun : ""je suis vraiment navré pour le voyage""
Sommières 16 septembre 1971, 17,9x12,8cm, un feuillet. Lettre autographe signée de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun, rédigée au feutre bleu. L'écrivain présente ses excuses à sa jeune amante française, à qui il avait promis un voyage : ""Je suis vraiment navré pour le voyage. mais un peu plus tard. L.D."" Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuir Chypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son roman Bitter Lemons of Cyprus (Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la « maison Tartès », sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son œuvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante ""Jany"" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée « Buttons » en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de « Buttons », louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des œuvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. - Sommières 16 septembre 1971, 17,9x12,8cm, un feuillet. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]
Librairie Le Feu FolletProfessional seller
Book number: 70820
€  50.00 [Appr.: US$ 54.23 | £UK 42.75 | JP¥ 8527]

 
DURRELL Lawrence
Lettre autographe signée adressée à Jani Brun : ""Je suis rentré fatigué mais content à Sommières""
Sommières 16 octobre 1971, 13,4x20,9cm, une page, enveloppe jointe. Lettre autographe signée de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun, la remerciant pour un séjour passé en sa compagnie à Liège. Onze lignes au feutre noir sur papier à en-tête personnel de l'écrivain. Enveloppe jointe. Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuir Chypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son roman Bitter Lemons of Cyprus (Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la « maison Tartès », sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son œuvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante ""Jany"" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée « Buttons » en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de « Buttons », louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des œuvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. - Sommières 16 octobre 1971, 13,4x20,9cm, une page, enveloppe jointe. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]
Librairie Le Feu FolletProfessional seller
Book number: 70541
€  80.00 [Appr.: US$ 86.78 | £UK 68.25 | JP¥ 13643]

 
DURRELL Lawrence
Lettre autographe signée adressée à Jani Brun depuis Montréal : ""mais c'est loin, bien loin de Montpellier : c'est l'âme qui devient sourd, muet, entassée dans la neige et les brumes de printemps""
Montréal 11 mars 1968, 13,7x21,5cm, 2 pages sur un feuillet, enveloppe jointe. Lettre autographe signée de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun, deux pages rédigées au stylo sur un papier à en-être du Ritz-Carlton Hotel de Montréal. Enveloppe jointe. Durant un déplacement à Montréal, l'écrivain adresse une longue missive à sa jeune amante française, qu'il a laissée à regret dans le Midi. Il donne un avis mitigé sur la ville et ses habitants : ""la ville est très belle avec les lacs glacées [sic], la neige partout ; on mange bien et on chauffe bien [...] les Quebecois sont très gentils et hospitaliers mais je sens une lourdeur d'esprit qui me rappelle Genève !"" Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuir Chypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son roman Bitter Lemons of Cyprus (Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la « maison Tartès », sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son œuvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante ""Jany"" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée « Buttons » en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de « Buttons », louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des œuvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. - Montréal 11 mars 1968, 13,7x21,5cm, 2 pages sur un feuillet, enveloppe jointe. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]
Librairie Le Feu FolletProfessional seller
Book number: 70619
€  350.00 [Appr.: US$ 379.64 | £UK 297.75 | JP¥ 59688]

 
DURRELL Lawrence
Lettre dactylographiée et autographe signée adressée à Jani Brun : ""le babysitting ; assez ennuyeux mais on a le temps de travailler ou lire""
Sommières 23 janvier 1970, 13x20cm, 1 page sur un feuillet, enveloppe jointe. Lettre dactylographiée et autographe signée de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun. Enveloppe jointe. L'amante de l'écrivain envisage un séjour à Londres ; Durrell lui donne des conseils sur les agences de babysitting : ""assez ennuyeux mais on a le temps de travailler ou lire ; pour cela il faut déclarer votre intention de rester au moins 6 mois dans le pays (on peut toujours le dire !) [...] N'oubliez pas qu'il y a toujours le grand lycée Français de Londres [...]"" Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuir Chypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son roman Bitter Lemons of Cyprus (Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la « maison Tartès », sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son œuvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante ""Jany"" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée « Buttons » en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de « Buttons », louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des œuvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. - Sommières 23 janvier 1970, 13x20cm, 1 page sur un feuillet, enveloppe jointe. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]
Librairie Le Feu FolletProfessional seller
Book number: 70620
€  50.00 [Appr.: US$ 54.23 | £UK 42.75 | JP¥ 8527]

 
DURRELL Lawrence
Lettre autographe signée adressée à Jani Brun : ""Toi, tu peux m'écrire en Français. J'ai du mal à l'écrire mais je le comprends très bien"".
Paris 18 juillet 1969, 21,6x28cm, 1 page sur un feuillet, enveloppe jointe. Lettre autographe signée de Lawrence Durrell adressée à son amante Jani Brun datant du début de leur relation. Une page au stylo bille bleu. Enveloppe jointe. L'écrivain adresse ici une des premières lettres de sa correspondance avec sa jeune amie montpelliéraine, qui s'étendit sur plus de deux décennies. Encore peu habitué à la langue française, il demanda de l'aide pour traduire sa lettre : ""J'espère bien mieux te connaître [...] Gérard a traduit ceci de l'anglais pour moi. Comprendrais-tu si la prochaine fois j'écrivais en anglais [...] ?"" Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuir Chypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son roman Bitter Lemons of Cyprus (Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la « maison Tartès », sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son œuvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante ""Jany"" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée « Buttons » en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de « Buttons », louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des œuvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. - Paris 18 juillet 1969, 21,6x28cm, 1 page sur un feuillet, enveloppe jointe. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]
Librairie Le Feu FolletProfessional seller
Book number: 70624
€  200.00 [Appr.: US$ 216.94 | £UK 170.25 | JP¥ 34107]

 
DURRELL Lawrence
Lettre autographe signée adressée à Jani Brun : ""le MONTAGUE HOTEL à côté du British Museum, quartier tranquil [sic] et respectable""
Sommières 22 août 1969, 12,6x20,3cm, 2 pages sur 2 feuillets, enveloppe jointe. Lettre autographe signée de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun, deux pages rédigées sur deux feuillets. Pliures centrales inhérentes à la mise sous pli de la missive. Enveloppe jointe. L'écrivain arrange pour son amante un séjour à Londres et a demandé à son éditeur Alan G. Thomas de l'accueillir : ""Thomas a déjà réservé une chambre au MONTAGUE HOTEL [...] à côté du British Museum, quartier tranquil [sic] et respectable. Mais vérifiez vos dates et télégraphiez lui en avance pour qu'il refasse l'opération"". Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuir Chypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son roman Bitter Lemons of Cyprus (Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la « maison Tartès », sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son œuvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante ""Jany"" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée « Buttons » en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de « Buttons », louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des œuvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. - Sommières 22 août 1969, 12,6x20,3cm, 2 pages sur 2 feuillets, enveloppe jointe. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]
Librairie Le Feu FolletProfessional seller
Book number: 70627
€  100.00 [Appr.: US$ 108.47 | £UK 85.25 | JP¥ 17054]

 
DURRELL Lawrence
Lettre autographe signée adressée à Jani Brun à propos du roman Tunc: ""maintenant je n'ai plus d'excuses. Il faut vraiment reprendre ce sacré bouquin en main""
Sommières 18 juillet 1968, 21,2x13,4cm, 1 feuillet sous enveloppe. Lettre autographe signée de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun, rédigée au feutre brun, datant du début de leur relation. Pliure centrale inhérente à la mise sous pli de la missive. Enveloppe jointe. L'écrivain, en pleine écriture de son roman Tunc, donne des nouvelles à sa nouvelle amante française dans un français encore hésitant : ""Enfin pour le moment pas des [sic] aventures à vous raconter. trop de travail. trop de correspondance. Mon fils (de Claude [-Marie Vincendon, épousée en 1961]) est ici est [sic] aide Barbie avec les papiers. Il la trouve jolie mais moi je suis plein des [sic] sentiments peu charitables. En tous cas maintenant je n'ai plus d'excuses. Il faut vraiment reprendre ce sacré bouquin en main. Je ne serais mais entièrement mécontent de te revoir un de ces jours. si l'idée vous vient"". Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuir Chypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son roman Bitter Lemons of Cyprus (Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la « maison Tartès », sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son œuvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante ""Jany"" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée « Buttons » en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de « Buttons », louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des œuvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. - Sommières 18 juillet 1968, 21,2x13,4cm, 1 feuillet sous enveloppe. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]
Librairie Le Feu FolletProfessional seller
Book number: 70824
€  150.00 [Appr.: US$ 162.7 | £UK 127.75 | JP¥ 25581]

 
BLOY Léon
Lettre autographe datée et signée à Henri Martineau notamment à propos de la parution de la troisième édition de son Désespéré : ""Crès m'ennuie. Il croit m'écrit-il que le ""Désespéré"" paraîtra à la fin du mois, ce qui veut dire le milieu du mois prochain...""
Bourg-La-Reine 25 Juin 1913, 13,5x21cm, une page sur un feuillet. Lettre autographe datée et signée de Léon Bloy à Henri Martineau, 27 lignes à l'encre noire à propos des vacances familiales et des difficultés de distribution de l'impression de la troisième édition de son désespéré inhérente au retard de son éditeur Crès. Pliures inhérentes à l'envoi postal. Bloy remercie son correspondant et évoque la santé encore fragile de sa femme et les perspectives de vacances de la famille Bloy. Il s'inquiète de ne pouvoir adresser à ses amis son prochain ouvrage ""Le désespéré"" qui sera disponible avec quelques jours de retard alors qu'il sera déjà en vacances : ""Je ne peux donc faire aucune distribution & j'en suis mortifié."" - Bourg-La-Reine 25 Juin 1913, 13,5x21cm, une page sur un feuillet. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]
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Book number: 84883
€  500.00 [Appr.: US$ 542.35 | £UK 425.5 | JP¥ 85268]

 
DEHARME Lise
Deux lettres autographes manuscrites de Lise Deharme à Guy Dupré
1963 et s.d., 15x10,5cm et 13,5x21cm, une carte et un feuillet remplié. Lettres autographes signées de Lise Deharme adressées à Guy Dupré, 9 lignes au stylo rouge sur une carte postale et 17 lignes à l'encre bleue sur deux pages sur un feuillet remplié. Pliure inhérente à la mise sous pli. Ensemble témoignant de l'amitié unissant Lise Deharme, figure du surréalisme, et Guy Dupré, alors éditeur chez Plon : « Si je vous écris que j'ai pleuré en lisant votre article, j'aurais l'air de commettre une de ces exagérations parisiennes chères à ces amis de nos amis » - 1963 et s.d., 15x10,5cm et 13,5x21cm, une carte et un feuillet remplié. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]
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Book number: 63989
€  150.00 [Appr.: US$ 162.7 | £UK 127.75 | JP¥ 25581]

 
CALAFERTE Louis
Lettre autographe signée ""c'est l'immobilisme chez ces gens qui ne prennent plus aucun risque d'édition...""
Lyon 5 Mars 1978, 21x27cm, 2 pages sur un feuillet. Lettre autographe datée du 5 mars 1978 si­gnée de Louis Calaferte, de deux pages, à une amie libraire non identifiée, de 33 lignes à l'encre noire, rédigée depuis Lyon. Habituelles traces de pliures sans gravité d'une lettre glissée dans une enveloppe. Dans sa missive, pleine de sollicitude, d'estime et de respect pour le travail d'écriture de sa malheureuse correspondante qui désire faire publier son manuscrit, Louis Calaferte s'excuse tout d'abord du retard, indé­pendant de sa volonté, pris pour lui répondre : « J'ai attendu, attendu, attendu - espérant toujours pouvoir vous apporter une heureuse nouvelle concernant l'éventuelle édition de votre travail de librairie », pour ensuite lui avouer et fustiger « un certain immobilisme chez ces gens qui ne prennent plus aucun risque d'édition, et sont plus friands d'imbécillité du genre « best-seller » que d'ouvrages ayant trait à une certaine érudi­tion ». Louis Calaferte, infructueux intermédiaire entre cet écrivain et le monde des éditeurs parisiens, se montre « désolé car, à mes yeux, il me semble qu'une édition de ce type eût été nécessaire. » Il se propose, lors de son tout prochain passage à Paris, de lui remettre le manuscrit, qu'il a proposé sans succès aux maisons d'édition, et qu'il appelle « votre cahier » ou de le lui apporter dans sa librairie plus tard. Enfin, Louis Calaferte conclut symboliquement sa lettre par un « désolé de cet échec, je vous prie de croire à mon estime ». - Lyon 5 Mars 1978, 21x27cm, 2 pages sur un feuillet. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]
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Book number: 62584
€  180.00 [Appr.: US$ 195.25 | £UK 153.25 | JP¥ 30697]

 
ARAGON Louis
Lettre autographe signée
Grandcamp-les-Bains s.d. (ca 1914-1920), 13,5x21cm, une page sur un feuillet remplié. Lettre autographe signée adressée à un correspondant qu'il ne nous a pas été possible d'identifier. Rédigée depuis le Grand Hôtel de Grandcamp-les-Bains (Calvados) à l'encre bleue sur un feuillet remplié de papier blanc. Une pliure transversale inhérente à la mise sous pli de la missive et quatre petites perforations portant atteinte au texte mais ne gênant pas sa lecture. La mention de Grandcamp-les-Bains - où Aragon ne semble avoir été qu'une seule fois l'été de ses dix-sept ans - et la signature - d'une forme précoce - nous laissent penser que la lettre pourrait avoir été rédigée à l'été 1914. Philippe Forest, dans sa biographie d'Aragon, confirme que c'est bien à Grandcamp-les-Bains, où sa famille avait loué cinquante chambres dans un grand hôtel du bord de mer pour loger famille et amis, que le futur poète apprit la nouvelle de la mobilisation. L'écriture, moins ronde que sur les manuscrits antérieurs aux années 1920, nous semble cependant plus tardive et nous ne sommes donc pas en mesure de confirmer la date de 1914. - Grandcamp-les-Bains s.d. (ca 1914-1920), 13,5x21cm, une page sur un feuillet remplié. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]
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Book number: 75566
€  800.00 [Appr.: US$ 867.76 | £UK 680.75 | JP¥ 136429]

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