Total # of books: 29037. Max. 5000 are shown.
found: 5000 books on 334 pages. This is page 15
Previous page - Next page

 
[LIVRE D'HEURES - ENLUMINURES] Fragments recto verso de l'office des morts
fin XVe- début XVIe s., 12,2x16,7 cm, feuillet sur parchemin. Fragments recto verso d'un livre d'heures manuscrit sur parchemin avec encadrements somptueusement enluminés à pleine page. Cette division en compartiments des ornements est représentative de la production des ateliers rouennais et parisiens au tournant du XVIe siècle. Deux pages enluminées sur un feuillet recto verso : encadrement divisé en bandeaux et fleurs ornés de motifs floraux et rinceaux, lettrines dorées peintes de rouge et bleu alternés et rubriques. La richesse de l'enluminure caractérise ces livres liturgiques destinés aux laïcs. Les livres d'heures étaient à l'époque des bijoux de piété, à la fois un instrument de la pratique religieuse et une revendication sociale affirmée par la richesse du travail des artistes. Véritable petit tableau, ce feuillet est extrait probablement d'un luxueux volume où chaque page était soigneusement peinte. On retrouve ici un fragment de l'Office des morts au moment des laudes. Au recto du feuillet : antienne ""A porta"" suivie du cantique ""Ego dixi in dimidio dierum meorum..."". L'office des morts est un ensemble de prières dédié au salut de l'âme des défunts. Plus que de la commisération, ce dévouement traduit la crainte constante des hommes médiévaux pour la mort. Écriture dite cursiva libraria sur des longues lignes. Témoin de la formalisation de l'écriture cursive à l'aube de la Renaissance française, cette écriture est emblématique de la production des copistes français pour les laïcs durant la période. - fin XVe- début XVIe s., 12,2x16,7 cm, feuillet sur parchemin. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]
Librairie Le Feu FolletProfessional seller
Book number: 73158
€  800.00 [Appr.: US$ 861.11 | £UK 686.5 | JP¥ 132536]

 
[LIVRE D'HEURES - ENLUMINURE] Fragments recto verso des psaumes pénitentiels
fin XVe- début XVIe s., 12,2x16,7 cm, feuillet sur parchemin. Fragments recto verso d'un livre d'heures manuscrit sur parchemin avec encadrements somptueusement enluminés à pleine page. Cette division en compartiments des ornements est représentative de la production des ateliers rouennais et parisiens au tournant du XVIe siècle. Deux pages enluminées sur un feuillet recto verso : encadrement divisé en bandeaux et fleurs de lys ornés de motifs floraux et rinceaux, lettrines dorées peintes de rouge et bleu alternés et rubriques. La richesse de l'enluminure caractérise ces livres liturgiques destinés aux laïcs. Les livres d'heures étaient à l'époque des bijoux de piété, à la fois un instrument de la pratique religieuse et une revendication sociale affirmée par la richesse du travail des artistes. Véritable petit tableau, ce feuillet est extrait probablement d'un luxueux volume où chaque page était soigneusement peinte. On retrouve ici un fragment des psaumes pénitentiels, la fin du quatrième psaume ""Miserere mei, Deus, secundum magnam misericordiam tuam..."" et le début du suivant ""Domine, exaudi orationem meam,et clamor..."". Cette partie des livres d'heures sert d'ordinaire à demander le pardon pour ses péchés et à exprimer un repentir. Écriture dite cursiva libraria sur des longues lignes. Témoin de la formalisation de l'écriture cursive à l'aube de la Renaissance française, cette écriture est emblématique de la production des copistes français pour les laïcs durant la période. - fin XVe- début XVIe s., 12,2x16,7 cm, feuillet sur parchemin. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]
Librairie Le Feu FolletProfessional seller
Book number: 73161
€  800.00 [Appr.: US$ 861.11 | £UK 686.5 | JP¥ 132536]

 
[CHABERT Jean-Baptiste]
Manuscrit autographe complet intitulé ""Mémoire de la construction et agréz d'une galère ordinaire, avec l'explication des termes, l'usage des manoeuvres, et de toutes les parties qui composent le corps de la galère et son armement""
s.d. (1672-1674), in-4 (24x34cm), relié. Manuscrit autographe complet de 106 pages intitulé «?Mémoire de la construction et agréz d'une galère ordinaire, avec l'explication des termes, l'usage des manœuvres, et de toutes les parties qui composent le corps de la galère et son armement?». Il est rédigé d'une écriture soignée et sans ratures. Une autre main a apposé quelques annotations marginales au texte. Reliure de l'époque en plein parchemin comportant de petites taches et infimes manques, dos lisse muet. Manuscrit capital et précieux témoignage de la résurrection des galères françaises, rédigé par le maître constructeur le plus influent de son temps?: Jean-Baptiste Chabert. Nous avons pu identifier deux autres manuscrits présentant le même titre que le nôtre?: l'un a appartenu au Commandant Noël Fourquin, capitaine au long cours et spécialiste de la lexicologie nautique, et l'autre à Louis-Philippe en personne. On retrouve ce dernier dans le catalogue de la vente de ses bibliothèques du Palais-Royal et de Neuilly en décembre 1852 sous le numéro 445?; il présente une reliure identique à notre exemplaire. Cet important manuscrit est attribuable à Jean-Baptiste Chabert constructeur de galères à Marseille. Jan Fennis, dans son ouvrage intitulé Trésor du langage des galères (1995) rend compte de cette attribution par Jacques Humbert (La Galère du XVIIIè siècle) qui transmit le manuscrit au Commandant Fourquin?: «?Il nous paraît que cette œuvre est celle d'un constructeur de galères travaillant à Marseille car il est question de l'arsenal de cette ville dans le texte. Il nous semble qu'on pourrait assez raisonnablement l'attribuer à Jean-Baptiste Chabert.?» Jean-Baptiste Chabert appartenait à une dynastie de constructeurs de galères marseillais dont le père construisait déjà des navires depuis le milieu du XVIIè siècle. Il fut notamment engagé dans la réalisation des galères présente dans l'hallucinante flottille du Grand Canal de Versailles qui furent réalisées à Marseille à partir de 1681. En 1682 il fut nommé professeur à l'école de construction de Marseille où étaient formés les officiers, lieutenants et sous-lieutenants des galères, avant d'obtenir en 1690 son brevet de premier maître constructeur des galères royales. Dans une lettre aux présidents de parlements datée du 11 avril 1662, Colbert annonce?: «?Le Roi m'a commandé de vous écrire ces lignes de sa part pour vous dire que, Sa Majesté désirant rétablir le corps des galères et en fortifier la chiourme par toutes sortes de moyens, est que vous teniez la main à ce que votre compagnie y condamne le plus grand nombre de coupables qu'il se pourra et que l'on convertisse même la peine de mort en celle des galères.?» Cette lettre permet de dater précisément autour de 1672-1674 notre manuscrit dans lequel l'auteur s'exprime dès les premières pages sur la «?nationalisation?» des galères?: «?Il faut savoir que le roi a l'économie de ses galères depuis dix à douze ans, les capitaines étant auparavant propriétaires du corps et agrès des galères.?» Cette datation peut également être confortée par le manuscrit du Commandant Noël Fourquin?: en marge de ce même passage concernant Louis XIV est indiquée la mention «?1672-74?». Il est ensuite immédiatement question de «?Monsieur [Nicolas] Arnoul intendant des galères de France?»?: «?Du depuis, Monsieur Arnoul [...] a fait construire à Marseille un arsenal très magnifique, dans lequel il y a toute sorte de manufactures pour fournir les choses nécessaires pour armer les galères.?» Le chantier de l'arsenal de Marseille s'étendit, en trois phases, de 1665 à 1690, mais Arnoul décéda en 1674. Chabert démarre son manuscrit en énonçant les différents types de galères?: ordinaire, Patronne, Capitane et Realle. Ces vaisseaux sont caractérisés par leurs tailles ,mais l'architecte ne s'attarde pas outre mesure sur ce sujet, témoignant de la culture du secret attachée au monde des constructeurs à cette époque. Chabert fait ensuite un bref point sur la situation des galères, le regain d'intérêt de Louis XIV pour ces navires et la manière dont il est parvenu à les multiplier et surtout à les remplir de «?forçats?» ces dix dernières années. En 1660, lorsque Louis XIV visita Marseille, le port n'abritait plus de flotte de guerre?: les galères végétaient à Toulon et seulement six étaient en état de prendre la mer. Ce constat désola le roi qui émit le souhait de posséder une flotte surpassant celle de l'Espagne et des puissances italiennes. Un tel projet requérant des infrastructures importantes, Louis XIV chargea Nicolas Arnoul de construire un arsenal et d'armer des galères. La plus grande partie du manuscrit est consacrée à la description des différents éléments d'une galère, à leur construction et à l'utilité de chacune. Chabert traite aussi bien de la structure physique que de l'armement nécessaire ou encore de la cuisine. Au-delà de cet aspect purement matériel, il décrit le rôle de chaque personne présente à bord. Très beau manuscrit, réalisé à seulement quelques rares exemplaires, témoignage du regain d'intérêt pour la Marine et des grands travaux navals voulus par Louis XIV et Colbert. - s.d. (1672-1674), in-4 (24x34cm), relié. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]
Librairie Le Feu FolletProfessional seller
Book number: 75039
€  4000.00 [Appr.: US$ 4305.54 | £UK 3431.5 | JP¥ 662680]

 
[MARINE] La marine et son budget. Extrait de la Revue des Deux Mondes
Extrait de La Revue des deux mondes, s.l. [Paris] 1876, 15,5x25cm, agrafé. Edition originale. Sous couverture muette. Rare. - Extrait de La Revue des deux mondes, s.l. [Paris] 1876, 15,5x25cm, agrafé. [ENGLISH TRANSLATION FOLLOWS] First edition. Plain paper cover. Rare.
Librairie Le Feu FolletProfessional seller
Book number: 18582
€  50.00 [Appr.: US$ 53.82 | £UK 43 | JP¥ 8283]

 
[MAZARINADE] La resiouissance publique et banquet provincial au retour du roy en sa bonne ville de Paris par le S.L.D.C.
Chez Pierre Margat & Thomas La Carriere, à Paris 1649, In-4 (15,5x21,5cm), (4) 19pp. (1), relié. Edition originale. Epitre à l'ambassadeur de Venise, en italien. Moreau, Bibliographie des Mazarinades, III, n° 3091, pp. 38-39. Reliure en demi basane marine maroquinée ca 1860. Dos lisse, titre doré. Traces de frottement en coiffes, mors, plats et coins. Bon exemplaire. L'auteur, présenté par les initiales S. D. L. C., pourrait être le Sieur De La Campie, auteur de deux autres pièces de ce genre intitulées La Juliade ou Jules démasqué et Les Profanations mazariniques (voir Hubert Carrier, La Presse de la Fronde: les Mazarinades, Droz, 1991, p. 37). Après l'épître en italien, se trouve le poème burlesque qui contient d'intéressants et curieux détails sur la cuisine du temps. À la fin figurent 14 énigmes sous le titre: Le Dessert à plats couverts. A Messieurs les Provinciaux. Le verso du dernier feuillet contient les réponses à ces énigmes. - Chez Pierre Margat & Thomas La Carriere, à Paris 1649, In-4 (15,5x21,5cm), (4) 19pp. (1), relié. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]
Librairie Le Feu FolletProfessional seller
Book number: 66459
€  300.00 [Appr.: US$ 322.92 | £UK 257.5 | JP¥ 49701]

 
[ ]
MEMOIRE PRESENTE A MM LES FABRICANS D'ETOFFES DE SOIE SUR L'ETAT ACTUEL DES MANUFACTURES DE SOIERIES EN FRANCE, ET LESMOYENS D'EN PREVENIR LA DECADENCE
Imp. de Coque, Lyon 1825, 13x19,5cm, broché. Edition originale publiée anonymement. Il a été broché à la suite de notre exemplaire : 'Prospectus pour l'établissement d'un décreusage d'essai pour les soies à une condition publique, et d'un atelier de décreusage et d'assouplissage des soies destinées à la teinture' imprimé chez le même éditeur. Rousseurs. Rare. - Imp. de Coque, Lyon 1825, 13x19,5cm, broché. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]
Librairie Le Feu FolletProfessional seller
Book number: 15375
€  150.00 [Appr.: US$ 161.46 | £UK 128.75 | JP¥ 24850]

 
HENRY L. d'.
Mémoire explicatif du cadran musical transpositeur
Imp. de L. Danel, Lille 1862, 13,5x22cm, relié. Edition originale. Reliure en demi basane noire, dos lisse orné de quadruple filets dorés comportant de petites traces de frottements, initiales dorées en queue, reliure de l'époque. Notre exemplaire est bien complet de ses 6 planches dépliantes in-fine dont l'une est découpée. Rare exemplaire exempt de rousseurs. - Imp. de L. Danel, Lille 1862, 13,5x22cm, relié. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]
Librairie Le Feu FolletProfessional seller
Book number: 17803
€  200.00 [Appr.: US$ 215.28 | £UK 171.75 | JP¥ 33134]

 
[LA FAYETTE Madame de ou COURTILZ DE SANDRAS Gatien ou HUET Pierre Daniel]
Memoires de Hollande
Chez Estienne Michallet, à Paris 1678, In 12 (10x15,5cm), (8) 456pp., relié. Édition originale, très rare, longtemps attribuée à Madame de La Fayette, et publiée l'année de La Princesse de Clèves, puis à Courtilz de Sandras et même à Pierre Daniel Huet. Reliure en plein maroquin fin XIXe signé Bellevallée glacé vieux rouge. Dos à nerfs janséniste. Large frise dorée intérieure. Date en queue. Très bel exemplaire, parfaitement établi, grand de marges, et non lavé. À l'inverse de La Princesse de Clèves, ou de La Princesse de Montpensier, les Mémoires de Hollande ne sont pas une nouvelle à caractère historique, mais s'affichent comme un roman de mœurs qui utilise des prénoms modernes. L'œuvre décrit, à travers les amours d'une juive et d'un Lusignan, la vie aux Pays-bas vers le milieu du XVIIe siècle ; c'est l'un des seuls romans osant affronter la réalité telle qu'elle est, et l'œuvre mérite d'être distinguée dans l'invention de la littérature romanesque française à ce titre. Le livre intéresse l'histoire et la topographie des Pays-Bas. Il est à remarquer que cette œuvre se trouvait dans les plus grandes bibliothèques d'amateurs du XIXe siècle. (Lignerolles, Rochebilière, Rothschild, Téchener, etc.) - Chez Estienne Michallet, à Paris 1678, In 12 (10x15,5cm), (8) 456pp., relié. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]
Librairie Le Feu FolletProfessional seller
Book number: 36976
€  1800.00 [Appr.: US$ 1937.49 | £UK 1544.25 | JP¥ 298206]

 
(BUTOR Michel)
Michel Butor et ses peintres
Musée des Beaux-Arts du Havre, Paris 1973, 18x24cm, agrafé. Edition originale de ce catalogue d'exposition s'étant tenue au musée des Beaux-Arts du Havre, au palais des Beaux-Arts de Bruxelles et au musée Masséna à Nice. Une petite déchirure avec minuscule manque en tête du second plat. Agréable exemplaire orné de reproductions d'oeuvres de Pierre Alechinsky, Christian Dotremont, Camille Bryen, Bernard Dufour, Jacques Hérold, André Masson, Sebastian Matta, Maria Helena Vieira da Silva, Victor Vasarely... Envoi autographe daté et signé de Michel Butor à ses amis Georges et Alice Raillard. - Musée des Beaux-Arts du Havre, Paris 1973, 18x24cm, agrafé. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]
Librairie Le Feu FolletProfessional seller
Book number: 67846
€  80.00 [Appr.: US$ 86.11 | £UK 68.75 | JP¥ 13254]

 
[MILITARIA] Notre artillerie de campagne. Extrait de la Revue des Deux Mondes
Extrait de La Revue des deux mondes, s.l. [Paris] 1888, 15,5x25cm, agrafé. Edition originale. Sous couverture muette. Rare. - Extrait de La Revue des deux mondes, s.l. [Paris] 1888, 15,5x25cm, agrafé. [ENGLISH TRANSLATION FOLLOWS] First edition. Plain paper cover. Rare.
Librairie Le Feu FolletProfessional seller
Book number: 17572
€  40.00 [Appr.: US$ 43.06 | £UK 34.5 | JP¥ 6627]

 
[MISSALE ROMANUM] Missae in agenda defunctorum
Apud Andram Poleti, Venetiis (Venise) 1713, in-folio (22x32cm), 24pp., relié. Nouvelle édition. Cette messe a été constamment rééditée jusqu'à la fin du XVIIIe. Une grande vignette de titre à mi-page signée Dalla Via et une figure à pleine page gravée par Franciscus Faldonus de la crucifixion. Exemplaire aux armes du Frioul et de Verone, de la République de Venise. L'aigle et le lion dans un médaillon central et dans des médaillons angulaires. Reliure en plein maroquin rouge d'époque italienne, décor à l'éventail et à la dentelle. Dos lisse orné d'une frise en long, passablement estompé. Les plats sont décorés d'un riche médaillon central à l'éventail, de plusieurs larges encadrements et de fers angulaires. Restaurations aux coins, bordures et coiffes. Craquelures sur le plat supérieur, avec pertes de dorures, et quelques petits manques. Manque les pages de garde avant le texte. Une bande de papier en renfort entre la page de titre et le contreplat. Nombreux feuillets mal restaurés par des bandes de papier bleutées. Spectaculaire reliure italienne à grand décor, aux armes. - Apud Andram Poleti, Venetiis (Venise) 1713, in-folio (22x32cm), 24pp., relié. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]
Librairie Le Feu FolletProfessional seller
Book number: 48283
€  1000.00 [Appr.: US$ 1076.39 | £UK 858 | JP¥ 165670]

 
Moyennes constructions : Le Savetier. Imagerie d'Épinal Pellerin n°1007.
Pellerin & Cie, Epinal s.d. (circa 1890), 29,5 x 40,5 cm, une feuille. Image d'Épinal, lithographie couleurs, moyen format, imprimée sur papier fort. Très bel état, couleurs très bien conservées. Ces planches sont des constructions ou maquettes en carton, sur lesquelles un patron était imprimé. Ce patron doit être découpé puis assemblé pour construire divers objets ou scènes de vie. L'imagerie d'Épinal publia plusieurs séries de modèles à découper dont les ""Grandes Constructions"" au format de 39 x 49 cm, les ""Moyennes Constructions"" et les ""Petites Constructions"". De 1880 à 1908, des constructions furent éditées avec pour objets l'architecture, les costumes, les bateaux et divers véhicules. Durant cette même période, les théâtres de papier ou ""théâtre chez soi"" connurent également un grand succès. Ce modèle de jouet se développa et perdura jusqu'à la seconde Guerre Mondiale. Vendues autrefois par des colporteurs, les images d'Épinal doivent leur nom à Jean-Charles Pellerin, qui fut le premier imprimeur à éditer en série ce type d'image, et qui habitait la ville d'Épinal (Vosges). Les sujets sont très variés mais généralement tournent autour de la religion, de l'histoire (Révolution française, batailles, uniformes militaires), ou tirés de romans à succès. L'imagerie d'Épinal prend ses origines dans l'imagerie, art populaire né au XVème siècle destiné principalement au public illettré des campagnes. ?À l'origine, l'image est gravée sur une planche de bois et l'impression s'effectue à l'aide d'une presse à bras. Elle est ensuite mise en couleur au moyen de pochoirs. Au XIXème siècle, on réalise à partir des bois gravés des moulages en plomb : les stéréotypes, qui permettent d'augmenter la production. En 1820, on passe à la lithographie, qui induit un changement de style radical, des dessins plus fins. En 1900, la mise en couleurs se fait toujours au pochoir, grâce à une machine qui peut colorier 300 images à l'heure, l'Aquatype. - Pellerin & Cie, Epinal s.d. (circa 1890), 29,5 x 40,5 cm, une feuille. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]
Librairie Le Feu FolletProfessional seller
Book number: 35299
€  70.00 [Appr.: US$ 75.35 | £UK 60.25 | JP¥ 11597]

 
Moyennes constructions : Train de Paris à St-Germain. Locomotive. Imagerie d'Épinal Pellerin n°1091
Pellerin & Cie, Epinal s.d. (circa 1890), 29,5 x 40,5 cm, une feuille. Image d'Épinal, lithographie couleurs, moyen format, imprimée sur papier fort. Déchirure en marge inférieure sans atteinte à l'estampe, couleurs très bien conservées. Ces planches sont des constructions ou maquettes en carton, sur lesquelles un patron était imprimé. Ce patron doit être découpé puis assemblé pour construire divers objets ou scènes de vie. L'imagerie d'Épinal publia plusieurs séries de modèles à découper dont les ""Grandes Constructions"" au format de 39 x 49 cm, les ""Moyennes Constructions"" et les ""Petites Constructions"". De 1880 à 1908, des constructions furent éditées avec pour objets l'architecture, les costumes, les bateaux et divers véhicules. Durant cette même période, les théâtres de papier ou ""théâtre chez soi"" connurent également un grand succès. Ce modèle de jouet se développa et perdura jusqu'à la seconde Guerre Mondiale. Vendues autrefois par des colporteurs, les images d'Épinal doivent leur nom à Jean-Charles Pellerin, qui fut le premier imprimeur à éditer en série ce type d'image, et qui habitait la ville d'Épinal (Vosges). Les sujets sont très variés mais généralement tournent autour de la religion, de l'histoire (Révolution française, batailles, uniformes militaires), ou tirés de romans à succès. L'imagerie d'Épinal prend ses origines dans l'imagerie, art populaire né au XVème siècle destiné principalement au public illettré des campagnes. ?À l'origine, l'image est gravée sur une planche de bois et l'impression s'effectue à l'aide d'une presse à bras. Elle est ensuite mise en couleur au moyen de pochoirs. Au XIXème siècle, on réalise à partir des bois gravés des moulages en plomb : les stéréotypes, qui permettent d'augmenter la production. En 1820, on passe à la lithographie, qui induit un changement de style radical, des dessins plus fins. En 1900, la mise en couleurs se fait toujours au pochoir, grâce à une machine qui peut colorier 300 images à l'heure, l'Aquatype. - Pellerin & Cie, Epinal s.d. (circa 1890), 29,5 x 40,5 cm, une feuille. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]
Librairie Le Feu FolletProfessional seller
Book number: 35316
€  70.00 [Appr.: US$ 75.35 | £UK 60.25 | JP¥ 11597]

 
Moyennes constructions : Train de Paris à St-Germain. Voiture. Imagerie d'Épinal Pellerin n°1091ter
Pellerin & Cie, Epinal s.d. (circa 1890), 29,5 x 40,5 cm, une feuille. Image d'Épinal, lithographie couleurs, moyen format, imprimée sur papier fort. Très bel état, couleurs très bien conservées. Ces planches sont des constructions ou maquettes en carton, sur lesquelles un patron était imprimé. Ce patron doit être découpé puis assemblé pour construire divers objets ou scènes de vie. L'imagerie d'Épinal publia plusieurs séries de modèles à découper dont les ""Grandes Constructions"" au format de 39 x 49 cm, les ""Moyennes Constructions"" et les ""Petites Constructions"". De 1880 à 1908, des constructions furent éditées avec pour objets l'architecture, les costumes, les bateaux et divers véhicules. Durant cette même période, les théâtres de papier ou ""théâtre chez soi"" connurent également un grand succès. Ce modèle de jouet se développa et perdura jusqu'à la seconde Guerre Mondiale. Vendues autrefois par des colporteurs, les images d'Épinal doivent leur nom à Jean-Charles Pellerin, qui fut le premier imprimeur à éditer en série ce type d'image, et qui habitait la ville d'Épinal (Vosges). Les sujets sont très variés mais généralement tournent autour de la religion, de l'histoire (Révolution française, batailles, uniformes militaires), ou tirés de romans à succès. L'imagerie d'Épinal prend ses origines dans l'imagerie, art populaire né au XVème siècle destiné principalement au public illettré des campagnes. ?À l'origine, l'image est gravée sur une planche de bois et l'impression s'effectue à l'aide d'une presse à bras. Elle est ensuite mise en couleur au moyen de pochoirs. Au XIXème siècle, on réalise à partir des bois gravés des moulages en plomb : les stéréotypes, qui permettent d'augmenter la production. En 1820, on passe à la lithographie, qui induit un changement de style radical, des dessins plus fins. En 1900, la mise en couleurs se fait toujours au pochoir, grâce à une machine qui peut colorier 300 images à l'heure, l'Aquatype. - Pellerin & Cie, Epinal s.d. (circa 1890), 29,5 x 40,5 cm, une feuille. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]
Librairie Le Feu FolletProfessional seller
Book number: 35317
€  70.00 [Appr.: US$ 75.35 | £UK 60.25 | JP¥ 11597]

 
Moyennes constructions : La Comète. Imagerie d'Épinal Pellerin n°1005
Pellerin & Cie, Epinal s.d. (circa 1890), 29,5 x 40,5 cm, une feuille. Image d'Épinal, lithographie couleurs, moyen format, imprimée sur papier fort. Très légère déchirure en marge supérieure sans atteinte à l'estampe, sinon très bel état, couleurs très bien conservées. Ces planches sont des constructions ou maquettes en carton, sur lesquelles un patron était imprimé. Ce patron doit être découpé puis assemblé pour construire divers objets ou scènes de vie. L'imagerie d'Épinal publia plusieurs séries de modèles à découper dont les ""Grandes Constructions"" au format de 39 x 49 cm, les ""Moyennes Constructions"" et les ""Petites Constructions"". De 1880 à 1908, des constructions furent éditées avec pour objets l'architecture, les costumes, les bateaux et divers véhicules. Durant cette même période, les théâtres de papier ou ""théâtre chez soi"" connurent également un grand succès. Ce modèle de jouet se développa et perdura jusqu'à la seconde Guerre Mondiale. Vendues autrefois par des colporteurs, les images d'Épinal doivent leur nom à Jean-Charles Pellerin, qui fut le premier imprimeur à éditer en série ce type d'image, et qui habitait la ville d'Épinal (Vosges). Les sujets sont très variés mais généralement tournent autour de la religion, de l'histoire (Révolution française, batailles, uniformes militaires), ou tirés de romans à succès. L'imagerie d'Épinal prend ses origines dans l'imagerie, art populaire né au XVème siècle destiné principalement au public illettré des campagnes. ?À l'origine, l'image est gravée sur une planche de bois et l'impression s'effectue à l'aide d'une presse à bras. Elle est ensuite mise en couleur au moyen de pochoirs. Au XIXème siècle, on réalise à partir des bois gravés des moulages en plomb : les stéréotypes, qui permettent d'augmenter la production. En 1820, on passe à la lithographie, qui induit un changement de style radical, des dessins plus fins. En 1900, la mise en couleurs se fait toujours au pochoir, grâce à une machine qui peut colorier 300 images à l'heure, l'Aquatype. - Pellerin & Cie, Epinal s.d. (circa 1890), 29,5 x 40,5 cm, une feuille. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]
Librairie Le Feu FolletProfessional seller
Book number: 35319
€  70.00 [Appr.: US$ 75.35 | £UK 60.25 | JP¥ 11597]

Previous page | Pages: 5 | 6 | 7 | 8 | 9 | 10 | 11 | 12 | 13 | 14 | 15 | 16 | 17 | 18 | 19 | 20 | 21 | 22 | 23 | 24 | 25 | - Next page