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L'Affiche Rouge - Tract de propagande antisémite et anticommuniste ""Des Libérateurs ? La Libération par l'armée du crime !"" - Joint : L'armée du crime
S. n. | s. l. 1944 | 20.50 x 26.50 cm | une feuille + une brochure agrafée ""Des Libérateurs ? La Libération par l'armée du crime !"" | S. n. | s. l. 1944 | 20.50 x 26.50 cm | une feuille + une brochure agrafée | Rare exemplaire de ce tract de propagande éditée par l’Occupant nazi et devenu la plus célèbre image de la Résistance. Cette réduction de la célèbre affiche rouge au recto, comporte, au verso, un paragraphe de commentaire fustigeant «?l’Armée du crime contre la France?». On lit au début de ce tract une dénonciation du «?rêve mondial du sadisme juif?», et que «?si des Français sabotent, pillent et tuent [...] ce sont toujours des juifs qui les inspirent?». Un discret pli horizontal, sinon superbe état pour un document à vocation éphémère. Nous joignons la rare brochure intitulée «?L’armée du crime?» sous le format d’un journal illustré de photographies de 14 pages. Une trace de pliure horizontale. Bel exemplaire.   * «?Au fil des années, l’image de l’Affiche rouge s’est progressivement gravée dans la mémoire des Français. On ne se lasse pas de la regarder, de la revoir, de temps à autre, dans un journal, dans un document télévisé... C’est avec la même émotion que l’on écoute le poème d’Aragon avec la voix de Léo Ferré. Car il émane de cette affiche une force que ses auteurs ne soupçonnaient pas.?» (Adam Rayski) Par un formidable renversement de son but initial, l’Affiche rouge est devenue, dès son apparition sur «?les murs de nos villes?», le symbole du courage des résistants, de leurs exploits et de la solidarité internationale des combattants de la liberté. Tout semblait étudié pour provoquer «?un effet de peur sur les passants?»?: la couleur de «?l’affiche qui semblait une tache de sang?», les portraits de Manouchian et de ses hommes, «?Noirs de barbe et de nuit, hirsutes, menaçants?», les noms étranges «?difficiles?» «?à prononcer?», le calcul des «?crimes?» de chacun et les preuves photographiques sous un chapelet de visages gris pris en entonnoir. Et pourtant, lorsqu’Aragon écrit onze ans plus tard «?Mais à l’heure du couvre-feu des doigts errants avaient écrit sous vos photos?: morts pour la France?», il ne s’agit pas d’une simple licence poétique. Comme le souligne sur son site le Musée de l’histoire de l’immigration?: «?Il est certain qu’ici et là des mains anonymes ont déposé des fleurs au pied de ces affiches ou ont collé dessus des bandeaux où l’on pouvait lire?: “Des martyrs”, ou “Oui?! L’armée de la Résistance”.?» C’est également ce qu’affirme la revue clandestine Les Lettres françaises publiée le mois suivant comme le tract diffusé par le Mouvement national contre le racisme, une des organisations de résistance issue de la section juive de la MOI dirigée par Adam Rayski?: «?Très haute et dramatique avec ses dix médaillons sur un fond rouge-sang. C’est l’affiche «?Des libérateurs???» qui représente des «?terroristes?» juifs?: un hongrois, un espagnol, un arménien, un italien, des polonais. La foule se presse silencieuse. Au-dessus de chacun de leurs portraits, – et pour nous faire horreur sans doute?? – on a noté leurs exploits. L’un d’eux a eu à son actif 56 déraillements, 150 morts et 600 blessés. – Beau tableau de chasse, dit quelqu’un. Une femme confie à son compagnon?: – Ils ne sont pas parvenus à leur faire de sales gueules. Et c’était vrai. Malgré les passages à tabac, malgré la réclusion et la faim. Les passants contemplent longuement ces visages énergiques aux larges fronts. Longuement et gravement comme on salue des amis morts. Dans les yeux aucune curiosité malsaine, mais de l’admiration, de la sympathie, comme s’ils étaient des nôtres. Et en fait ils étaient des nôtres puisqu’ils luttaient parmi des milliers des nôtres pour notre Patrie, parce qu’elle est aussi la Patrie de la liberté. Sur l’une des affiches, la nuit, quelqu’un a écrit au charbon en lettres capitales ce seul mot?: MARTYRS. C’est l’hommage de Paris à ceux qui se sont battus pour la liberté.?» Ce cuisant échec de la propagande nazie et collaborationniste est d’ailleurs confirmé par un rapport interne des
Librairie Le Feu FolletProfessional seller
Book number: "87668
€  7500.00 [Appr.: US$ 8735.49 | £UK 6494.25 | JP¥ 1287661]

 
[Jules COIGNET attribué]
Arbre mort et homme au chien
S. n. | s. l. circa 1830 | 41 x 35 cm | une feuille sous marie-louise encadrée S. n. | s. l. circa 1830 | 41 x 35 cm | une feuille sous marie-louise encadrée | Dessin au crayon non signé, représentant un grand arbre mort avec à son pied un homme assoupi et son chien. Cadre fin en bois présentant quelques griffures. Élève de Jean-Victor Bertin, Jules Coignet adopta la prédilection de son maître pour la peinture paysagiste. Il est l'auteur d'un grand nombre de toiles représentant des vues et des paysages peints au cours de ses nombreux voyages dans le Tyrol et le pays de Bade, en Suisse, en Italie et en Sicile, en Égypte et au Liban en Orient, ainsi que dans plusieurs provinces de France, notamment la Bretagne et la vallée de l'Isère. | [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]
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Book number: "47482
€  450.00 [Appr.: US$ 524.13 | £UK 389.75 | JP¥ 77260]

 
(Franklin Delano ROOSEVELT)
Carte postale photographique représentant Franklin Delano Roosevelt
1934 | 12.20 x 14.40 cm | une photographie 1934 | 12.20 x 14.40 cm | une photographie | Carte postale photographique représentant Franklin Delano Roosevelt en voiture. Tirage argentique d'époque. Bel exemplaire. | [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]
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Book number: "82530
€  100.00 [Appr.: US$ 116.47 | £UK 86.75 | JP¥ 17169]

 
Il Ciarlatano. Costruzione n°70
s. d. [Circa 1890] | 37 x 49 cm | une feuille s. d. [Circa 1890] | 37 x 49 cm | une feuille | Image d'Épinal, lithographie couleurs, grand format, imprimée sur papier fort. Deux déchirures en marge de droite avec atteinte à l'estampe, léger manque en marge de gauche, coins pliés. Ces planches sont des constructions ou maquettes en carton, sur lesquelles un patron était imprimé. Ce patron doit être découpé puis assemblé pour construire divers objets ou scènes de vie. L'imagerie d'Épinal publia plusieurs séries de modèles à découper dont les ""Grandes Constructions"" au format de 39 x 49 cm, les ""Moyennes Constructions"" et les ""Petites Constructions"". De 1880 à 1908, des constructions furent éditées avec pour objets l'architecture, les costumes, les bateaux et divers véhicules. Durant cette même période, les théâtres de papier ou ""théâtre chez soi"" connurent également un grand succès. Ce modèle de jouet se développa et perdura jusqu'à la seconde Guerre Mondiale. Vendues autrefois par des colporteurs, les images d'Épinal doivent leur nom à Jean-Charles Pellerin, qui fut le premier imprimeur à éditer en série ce type d'image, et qui habitait la ville d'Épinal (Vosges). Les sujets sont très variés mais généralement tournent autour de la religion, de l'histoire (Révolution française, batailles, uniformes militaires), ou tirés de romans à succès. L'imagerie d'Épinal prend ses origines dans l'imagerie, art populaire né au XVème siècle destiné principalement au public illettré des campagnes. À l'origine, l'image est gravée sur une planche de bois et l'impression s'effectue à l'aide d'une presse à bras. Elle est ensuite mise en couleur au moyen de pochoirs. Au XIXème siècle, on réalise à partir des bois gravés des moulages en plomb : les stéréotypes, qui permettent d'augmenter la production. En 1820, on passe à la lithographie, qui induit un changement de style radical, des dessins plus fins. En 1900, la mise en couleurs se fait toujours au pochoir, grâce à une machine qui peut colorier 300 images à l'heure, l'Aquatype. | [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]
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Book number: "35816
€  180.00 [Appr.: US$ 209.65 | £UK 156 | JP¥ 30904]

 
[CLUB ALPIN FRANÇAIS] Section de l'Isère. Taillefer, Trièves, Dévoluy, Vercors
Club alpin français | s. l. • [Grenoble] 1886 | 27.50 x 21 cm | relié Club alpin français | s. l. • [Grenoble] 1886 | 27.50 x 21 cm | relié | Edition originale, très rare, réalisée par le Club alpin français de l'Isère. Numéro d'ordre de l'exemplaire : N°55. Sur la page de titre, mention d'Album N°1. Il est probable que cette notion de permier album renvoie à un projet du Club alpin français pour chaque section, Dauphiné, Savoie, Haute Savoie, Vosges... Par contre, on trouve dans les catalogues de la Bibliothèque Nationale, d'autres albums notés numéro 1 de la section de l'Isère, mais qui sont intitulés ""Chartreuse"" et ""Grandes-Rousses, Sept-Laux, Belledonne"" ; ces deux autres albums contiennent également 50 photos comme le nôtre.  Ces albums ont un caractère nettement artisanal et ne constituent pas une édition imprimée au sens classique, ils étaient réalisés par et pour le Club. On n'y trouve pas ailleurs aucun nom d'imprimeur. Le nombre d'exemplaire, de ce fait, étaient certainement très restreint, et destiné à quelques membres et institutions, et non au domaine public. Reliure en demi chagrin chocolat à coins d'époque. Dos à nerfs orné de 3 fers, titres dorés. Tranches rouges. Frottement coiffes, bordures et coins. Après quelques feuillets destinés aux descriptions des photos, 50 planches cartonnées montées sur onglets avec 50 photographies contrecollées (9,5x14cm), avec un numéro et une légende. Tampon en page de titre : Club alpin français, section de l'Isère, Grenoble. Le Club alpin français est fondé en 1874 avec un centre à Paris. Sa mission était de faire découvrir la montagne par la pratique et la connaissance, en promouvant des travaux scientifiques, l'alpinisme, les randonnées... Chaque section diffusera de nombreux périodiques. Le Club alpin deviendra fédération sportive en 1996. Les photographies prises cherchent à donner une représentation la plus fidèle possible de la montagne en Isère, avec des vues de sommets, gorges, cascades, ponts, tunnels, ermitages, routes, lacs... C'est une des premières missions photographiques sur la montagne. Tirages argentiques contrastés et en fort bel état. | [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]
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Book number: "73172
€  2500.00 [Appr.: US$ 2911.83 | £UK 2164.75 | JP¥ 429220]

 
Construction pour enfants n°15 : le Puits de la ferme
Olivier-Pinot | Épinal s. d. [circa 1880-1900] | 49 x 39 cm Olivier-Pinot | Épinal s. d. [circa 1880-1900] | 49 x 39 cm | Image d'Épinal, lithographie couleurs, grand format, imprimée sur papier fort. Bel état, couleurs très bien conservées. Ces planches sont des constructions ou maquettes en carton, sur lesquelles un patron était imprimé. Ce patron doit être découpé puis assemblé pour construire divers objets ou scènes de vie.  L'imagerie d'Épinal publia plusieurs séries de modèles à découper dont les ""Grandes Constructions"" au format de 39 x 49 cm, les ""Moyennes Constructions"" et les ""Petites Constructions"". De 1880 à 1908, des constructions furent éditées avec pour objets l'architecture, les costumes, les bateaux et divers véhicules. Durant cette même période, les théâtres de papier ou ""théâtre chez soi"" connurent également un grand succès. Ce modèle de jouet se développa et perdura jusqu'à la seconde Guerre Mondiale.  ?Vendues autrefois par des colporteurs, les images d'Épinal doivent leur nom à Jean-Charles Pellerin, qui fut le premier imprimeur à éditer en série ce type d'image, et qui habitait la ville d'Épinal (Vosges). Les sujets sont très variés mais généralement tournent autour de la religion, de l'histoire (Révolution française, batailles, uniformes militaires), ou tirés de romans à succès. L'imagerie d'Épinal prend ses origines dans l'imagerie, art populaire né au XVème siècle destiné principalement au public illettré des campagnes. À l'origine, l'image est gravée sur une planche de bois et l'impression s'effectue à l'aide d'une presse à bras. Elle est ensuite mise en couleur au moyen de pochoirs. Au XIXème siècle, on réalise à partir des bois gravés des moulages en plomb : les stéréotypes, qui permettent d'augmenter la production. En 1820, on passe à la lithographie, qui induit un changement de style radical, des dessins plus fins. En 1900, la mise en couleurs se fait toujours au pochoir, grâce à une machine qui peut colorier 300 images à l'heure, l'Aquatype. | [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]
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Book number: "26130
€  150.00 [Appr.: US$ 174.71 | £UK 130 | JP¥ 25753]

 
Construction n° 42 : Corbeille à ouvrage
Olivier-Pinot | Épinal s. d. [circa 1880-1900] | 49 x 39 cm Olivier-Pinot | Épinal s. d. [circa 1880-1900] | 49 x 39 cm | Image d'Épinal, lithographie couleurs, grand format, imprimée sur papier fort. Bel état, couleurs très bien conservées. Ces planches sont des constructions ou maquettes en carton, sur lesquelles un patron était imprimé. Ce patron doit être découpé puis assemblé pour construire divers objets ou scènes de vie.  L'imagerie d'Épinal publia plusieurs séries de modèles à découper dont les ""Grandes Constructions"" au format de 39 x 49 cm, les ""Moyennes Constructions"" et les ""Petites Constructions"". De 1880 à 1908, des constructions furent éditées avec pour objets l'architecture, les costumes, les bateaux et divers véhicules. Durant cette même période, les théâtres de papier ou ""théâtre chez soi"" connurent également un grand succès. Ce modèle de jouet se développa et perdura jusqu'à la seconde Guerre Mondiale.  ?Vendues autrefois par des colporteurs, les images d'Épinal doivent leur nom à Jean-Charles Pellerin, qui fut le premier imprimeur à éditer en série ce type d'image, et qui habitait la ville d'Épinal (Vosges). Les sujets sont très variés mais généralement tournent autour de la religion, de l'histoire (Révolution française, batailles, uniformes militaires), ou tirés de romans à succès. L'imagerie d'Épinal prend ses origines dans l'imagerie, art populaire né au XVème siècle destiné principalement au public illettré des campagnes. À l'origine, l'image est gravée sur une planche de bois et l'impression s'effectue à l'aide d'une presse à bras. Elle est ensuite mise en couleur au moyen de pochoirs. Au XIXème siècle, on réalise à partir des bois gravés des moulages en plomb : les stéréotypes, qui permettent d'augmenter la production. En 1820, on passe à la lithographie, qui induit un changement de style radical, des dessins plus fins. En 1900, la mise en couleurs se fait toujours au pochoir, grâce à une machine qui peut colorier 300 images à l'heure, l'Aquatype. | [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]
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Book number: "26145
€  100.00 [Appr.: US$ 116.47 | £UK 86.75 | JP¥ 17169]

 
Construction n°16 : Voiture-Phaëton. Imagerie d'Epinal OLIVIER-PINOT
Olivier-Pinot | Épinal s. d. [circa 1890] | 29.50 x 40.50 cm | une feuille Olivier-Pinot | Épinal s. d. [circa 1890] | 29.50 x 40.50 cm | une feuille | Image d'Épinal, lithographie couleurs, moyen format, imprimée sur papier fort. Coins manquants, importantes déchirures en marges de droite et inférieure avec manque mais sans atteinte à l'estampe, couleurs très bien conservées. Ces planches sont des constructions ou maquettes en carton, sur lesquelles un patron était imprimé.  Ce patron doit être découpé puis assemblé pour construire divers objets ou scènes de vie. L'imagerie d'Épinal publia plusieurs séries de modèles à découper dont les ""Grandes Constructions"" au format de 39 x 49 cm, les ""Moyennes Constructions"" et les ""Petites Constructions"". De 1880 à 1908, des constructions furent éditées avec pour objets l'architecture, les costumes, les bateaux et divers véhicules. Durant cette même période, les théâtres de papier ou ""théâtre chez soi"" connurent également un grand succès. Ce modèle de jouet se développa et perdura jusqu'à la seconde Guerre Mondiale.  Vendues autrefois par des colporteurs, les images d'Épinal doivent leur nom à Jean-Charles Pellerin, qui fut le premier imprimeur à éditer en série ce type d'image, et qui habitait la ville d'Épinal (Vosges). Les sujets sont très variés mais généralement tournent autour de la religion, de l'histoire (Révolution française, batailles, uniformes militaires), ou tirés de romans à succès. L'imagerie d'Épinal prend ses origines dans l'imagerie, art populaire né au XVème siècle destiné principalement au public illettré des campagnes. ?À l'origine, l'image est gravée sur une planche de bois et l'impression s'effectue à l'aide d'une presse à bras. Elle est ensuite mise en couleur au moyen de pochoirs. Au XIXème siècle, on réalise à partir des bois gravés des moulages en plomb : les stéréotypes, qui permettent d'augmenter la production. En 1820, on passe à la lithographie, qui induit un changement de style radical, des dessins plus fins. En 1900, la mise en couleurs se fait toujours au pochoir, grâce à une machine qui peut colorier 300 images à l'heure, l'Aquatype. | [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]
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Book number: "35353
€  60.00 [Appr.: US$ 69.88 | £UK 52 | JP¥ 10301]

 
Constructions pour enfant : Cassette n°22.
Olivier-Pinot | Épinal s. d. [circa 1880-1900] | 39 x 49 cm Olivier-Pinot | Épinal s. d. [circa 1880-1900] | 39 x 49 cm | Image d'Épinal, lithographie couleurs, grand format, imprimée sur papier fort. Trois petites déchirures restaurées en marge (1 cm) sans aucune atteinte à la gravure, sinon très bel état, couleurs très bien conservées. Ces planches sont des constructions ou maquettes en carton, sur lesquelles un patron était imprimé. Ce patron doit être découpé puis assemblé pour construire divers objets ou scènes de vie.  L'imagerie d'Épinal publia plusieurs séries de modèles à découper dont les ""Grandes Constructions"" au format de 39 x 49 cm, les ""Moyennes Constructions"" et les ""Petites Constructions"". De 1880 à 1908, des constructions furent éditées avec pour objets l'architecture, les costumes, les bateaux et divers véhicules. Durant cette même période, les théâtres de papier ou ""théâtre chez soi"" connurent également un grand succès. Ce modèle de jouet se développa et perdura jusqu'à la seconde Guerre Mondiale.  ?Vendues autrefois par des colporteurs, les images d'Épinal doivent leur nom à Jean-Charles Pellerin, qui fut le premier imprimeur à éditer en série ce type d'image, et qui habitait la ville d'Épinal (Vosges). Les sujets sont très variés mais généralement tournent autour de la religion, de l'histoire (Révolution française, batailles, uniformes militaires), ou tirés de romans à succès. L'imagerie d'Épinal prend ses origines dans l'imagerie, art populaire né au XVème siècle destiné principalement au public illettré des campagnes. À l'origine, l'image est gravée sur une planche de bois et l'impression s'effectue à l'aide d'une presse à bras. Elle est ensuite mise en couleur au moyen de pochoirs. Au XIXème siècle, on réalise à partir des bois gravés des moulages en plomb : les stéréotypes, qui permettent d'augmenter la production. En 1820, on passe à la lithographie, qui induit un changement de style radical, des dessins plus fins. En 1900, la mise en couleurs se fait toujours au pochoir, grâce à une machine qui peut colorier 300 images à l'heure, l'Aquatype. | [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]
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Book number: "25467
€  100.00 [Appr.: US$ 116.47 | £UK 86.75 | JP¥ 17169]

 
Constructions n°31 : Meubles & accessoires
Olivier-Pinot | Épinal s. d. [circa 1880-1900] | 39 x 49 cm Olivier-Pinot | Épinal s. d. [circa 1880-1900] | 39 x 49 cm | Image d'Épinal, lithographie couleurs, grand format, imprimée sur papier fort. Une petite déchirure restaurée en marge (2 cm) sans aucune atteinte à la gravure, sinon très bel état, couleurs très bien conservées. Ces planches sont des constructions ou maquettes en carton, sur lesquelles un patron était imprimé. Ce patron doit être découpé puis assemblé pour construire divers objets ou scènes de vie.  L'imagerie d'Épinal publia plusieurs séries de modèles à découper dont les ""Grandes Constructions"" au format de 39 x 49 cm, les ""Moyennes Constructions"" et les ""Petites Constructions"". De 1880 à 1908, des constructions furent éditées avec pour objets l'architecture, les costumes, les bateaux et divers véhicules. Durant cette même période, les théâtres de papier ou ""théâtre chez soi"" connurent également un grand succès. Ce modèle de jouet se développa et perdura jusqu'à la seconde Guerre Mondiale.  ?Vendues autrefois par des colporteurs, les images d'Épinal doivent leur nom à Jean-Charles Pellerin, qui fut le premier imprimeur à éditer en série ce type d'image, et qui habitait la ville d'Épinal (Vosges). Les sujets sont très variés mais généralement tournent autour de la religion, de l'histoire (Révolution française, batailles, uniformes militaires), ou tirés de romans à succès. L'imagerie d'Épinal prend ses origines dans l'imagerie, art populaire né au XVème siècle destiné principalement au public illettré des campagnes. À l'origine, l'image est gravée sur une planche de bois et l'impression s'effectue à l'aide d'une presse à bras. Elle est ensuite mise en couleur au moyen de pochoirs. Au XIXème siècle, on réalise à partir des bois gravés des moulages en plomb : les stéréotypes, qui permettent d'augmenter la production. En 1820, on passe à la lithographie, qui induit un changement de style radical, des dessins plus fins. En 1900, la mise en couleurs se fait toujours au pochoir, grâce à une machine qui peut colorier 300 images à l'heure, l'Aquatype. | [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]
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Book number: "26107
€  150.00 [Appr.: US$ 174.71 | £UK 130 | JP¥ 25753]

 
Constructions mécaniques n°49 : Scierie (ce sujet fonctionne au moyen du sable)
Olivier-Pinot | Épinal s. d. [circa 1880-1900] | 49 x 39 cm Olivier-Pinot | Épinal s. d. [circa 1880-1900] | 49 x 39 cm | Image d'Épinal, lithographie couleurs, grand format, imprimée sur papier fort. Infimes manques marginaux sans aucune atteinte à la gravure, sinon très bel état, couleurs très bien conservées. Ces planches sont des constructions ou maquettes en carton, sur lesquelles un patron était imprimé. Ce patron doit être découpé puis assemblé pour construire divers objets ou scènes de vie.  L'imagerie d'Épinal publia plusieurs séries de modèles à découper dont les ""Grandes Constructions"" au format de 39 x 49 cm, les ""Moyennes Constructions"" et les ""Petites Constructions"". De 1880 à 1908, des constructions furent éditées avec pour objets l'architecture, les costumes, les bateaux et divers véhicules. Durant cette même période, les théâtres de papier ou ""théâtre chez soi"" connurent également un grand succès. Ce modèle de jouet se développa et perdura jusqu'à la seconde Guerre Mondiale.  ?Vendues autrefois par des colporteurs, les images d'Épinal doivent leur nom à Jean-Charles Pellerin, qui fut le premier imprimeur à éditer en série ce type d'image, et qui habitait la ville d'Épinal (Vosges). Les sujets sont très variés mais généralement tournent autour de la religion, de l'histoire (Révolution française, batailles, uniformes militaires), ou tirés de romans à succès. L'imagerie d'Épinal prend ses origines dans l'imagerie, art populaire né au XVème siècle destiné principalement au public illettré des campagnes. À l'origine, l'image est gravée sur une planche de bois et l'impression s'effectue à l'aide d'une presse à bras. Elle est ensuite mise en couleur au moyen de pochoirs. Au XIXème siècle, on réalise à partir des bois gravés des moulages en plomb : les stéréotypes, qui permettent d'augmenter la production. En 1820, on passe à la lithographie, qui induit un changement de style radical, des dessins plus fins. En 1900, la mise en couleurs se fait toujours au pochoir, grâce à une machine qui peut colorier 300 images à l'heure, l'Aquatype. | [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]
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Book number: "26114
€  150.00 [Appr.: US$ 174.71 | £UK 130 | JP¥ 25753]

 
Constructions pour enfants n°9 : La messe au camp
Olivier-Pinot | Épinal s. d. [circa 1880-1900] | 49 x 39 cm Olivier-Pinot | Épinal s. d. [circa 1880-1900] | 49 x 39 cm | Image d'Épinal, lithographie couleurs, grand format, imprimée sur papier fort. Bel état, couleurs très bien conservées. Ces planches sont des constructions ou maquettes en carton, sur lesquelles un patron était imprimé. Ce patron doit être découpé puis assemblé pour construire divers objets ou scènes de vie.  L'imagerie d'Épinal publia plusieurs séries de modèles à découper dont les ""Grandes Constructions"" au format de 39 x 49 cm, les ""Moyennes Constructions"" et les ""Petites Constructions"". De 1880 à 1908, des constructions furent éditées avec pour objets l'architecture, les costumes, les bateaux et divers véhicules. Durant cette même période, les théâtres de papier ou ""théâtre chez soi"" connurent également un grand succès. Ce modèle de jouet se développa et perdura jusqu'à la seconde Guerre Mondiale.  ?Vendues autrefois par des colporteurs, les images d'Épinal doivent leur nom à Jean-Charles Pellerin, qui fut le premier imprimeur à éditer en série ce type d'image, et qui habitait la ville d'Épinal (Vosges). Les sujets sont très variés mais généralement tournent autour de la religion, de l'histoire (Révolution française, batailles, uniformes militaires), ou tirés de romans à succès. L'imagerie d'Épinal prend ses origines dans l'imagerie, art populaire né au XVème siècle destiné principalement au public illettré des campagnes. À l'origine, l'image est gravée sur une planche de bois et l'impression s'effectue à l'aide d'une presse à bras. Elle est ensuite mise en couleur au moyen de pochoirs. Au XIXème siècle, on réalise à partir des bois gravés des moulages en plomb : les stéréotypes, qui permettent d'augmenter la production. En 1820, on passe à la lithographie, qui induit un changement de style radical, des dessins plus fins. En 1900, la mise en couleurs se fait toujours au pochoir, grâce à une machine qui peut colorier 300 images à l'heure, l'Aquatype. | [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]
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Book number: "26399
€  150.00 [Appr.: US$ 174.71 | £UK 130 | JP¥ 25753]

 
Constructions pour enfants n°16 : Moulin à vent
Olivier-Pinot | Épinal s. d. [circa 1880-1900] | 49 x 39 cm Olivier-Pinot | Épinal s. d. [circa 1880-1900] | 49 x 39 cm | Image d'Épinal, lithographie couleurs, grand format, imprimée sur papier fort. Infimes déchirures en marge inférieure, sinon bel état, couleurs très bien conservées. Ces planches sont des constructions ou maquettes en carton, sur lesquelles un patron était imprimé. Ce patron doit être découpé puis assemblé pour construire divers objets ou scènes de vie.  L'imagerie d'Épinal publia plusieurs séries de modèles à découper dont les ""Grandes Constructions"" au format de 39 x 49 cm, les ""Moyennes Constructions"" et les ""Petites Constructions"". De 1880 à 1908, des constructions furent éditées avec pour objets l'architecture, les costumes, les bateaux et divers véhicules. Durant cette même période, les théâtres de papier ou ""théâtre chez soi"" connurent également un grand succès. Ce modèle de jouet se développa et perdura jusqu'à la seconde Guerre Mondiale.  ?Vendues autrefois par des colporteurs, les images d'Épinal doivent leur nom à Jean-Charles Pellerin, qui fut le premier imprimeur à éditer en série ce type d'image, et qui habitait la ville d'Épinal (Vosges). Les sujets sont très variés mais généralement tournent autour de la religion, de l'histoire (Révolution française, batailles, uniformes militaires), ou tirés de romans à succès. L'imagerie d'Épinal prend ses origines dans l'imagerie, art populaire né au XVème siècle destiné principalement au public illettré des campagnes. À l'origine, l'image est gravée sur une planche de bois et l'impression s'effectue à l'aide d'une presse à bras. Elle est ensuite mise en couleur au moyen de pochoirs. Au XIXème siècle, on réalise à partir des bois gravés des moulages en plomb : les stéréotypes, qui permettent d'augmenter la production. En 1820, on passe à la lithographie, qui induit un changement de style radical, des dessins plus fins. En 1900, la mise en couleurs se fait toujours au pochoir, grâce à une machine qui peut colorier 300 images à l'heure, l'Aquatype. | [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]
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Book number: "26407
€  150.00 [Appr.: US$ 174.71 | £UK 130 | JP¥ 25753]

 
Constructions pour enfants n°23 : Petits meubles
Olivier-Pinot | Épinal s. d. [circa 1880-1900] | 49 x 39 cm Olivier-Pinot | Épinal s. d. [circa 1880-1900] | 49 x 39 cm | Image d'Épinal, lithographie couleurs, grand format, imprimée sur papier fort. Légères rousseurs marginales sinon bel état, couleurs très bien conservées. Ces planches sont des constructions ou maquettes en carton, sur lesquelles un patron était imprimé. Ce patron doit être découpé puis assemblé pour construire divers objets ou scènes de vie.  L'imagerie d'Épinal publia plusieurs séries de modèles à découper dont les ""Grandes Constructions"" au format de 39 x 49 cm, les ""Moyennes Constructions"" et les ""Petites Constructions"". De 1880 à 1908, des constructions furent éditées avec pour objets l'architecture, les costumes, les bateaux et divers véhicules. Durant cette même période, les théâtres de papier ou ""théâtre chez soi"" connurent également un grand succès. Ce modèle de jouet se développa et perdura jusqu'à la seconde Guerre Mondiale.  ?Vendues autrefois par des colporteurs, les images d'Épinal doivent leur nom à Jean-Charles Pellerin, qui fut le premier imprimeur à éditer en série ce type d'image, et qui habitait la ville d'Épinal (Vosges). Les sujets sont très variés mais généralement tournent autour de la religion, de l'histoire (Révolution française, batailles, uniformes militaires), ou tirés de romans à succès. L'imagerie d'Épinal prend ses origines dans l'imagerie, art populaire né au XVème siècle destiné principalement au public illettré des campagnes. À l'origine, l'image est gravée sur une planche de bois et l'impression s'effectue à l'aide d'une presse à bras. Elle est ensuite mise en couleur au moyen de pochoirs. Au XIXème siècle, on réalise à partir des bois gravés des moulages en plomb : les stéréotypes, qui permettent d'augmenter la production. En 1820, on passe à la lithographie, qui induit un changement de style radical, des dessins plus fins. En 1900, la mise en couleurs se fait toujours au pochoir, grâce à une machine qui peut colorier 300 images à l'heure, l'Aquatype. | [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]
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Book number: "26655
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Constructions mécaniques n°63, fonctionnant au moyen du sable : les Forgerons
Olivier-Pinot | Épinal s. d. [circa 1880-1900] | 49 x 39 cm Olivier-Pinot | Épinal s. d. [circa 1880-1900] | 49 x 39 cm | Image d'Épinal, lithographie couleurs, grand format, imprimée sur papier fort. Légères et marginales rousseurs, sinon bel état, couleurs très bien conservées. Ces planches sont des constructions ou maquettes en carton, sur lesquelles un patron était imprimé. Ce patron doit être découpé puis assemblé pour construire divers objets ou scènes de vie.  L'imagerie d'Épinal publia plusieurs séries de modèles à découper dont les ""Grandes Constructions"" au format de 39 x 49 cm, les ""Moyennes Constructions"" et les ""Petites Constructions"". De 1880 à 1908, des constructions furent éditées avec pour objets l'architecture, les costumes, les bateaux et divers véhicules. Durant cette même période, les théâtres de papier ou ""théâtre chez soi"" connurent également un grand succès. Ce modèle de jouet se développa et perdura jusqu'à la seconde Guerre Mondiale.  ?Vendues autrefois par des colporteurs, les images d'Épinal doivent leur nom à Jean-Charles Pellerin, qui fut le premier imprimeur à éditer en série ce type d'image, et qui habitait la ville d'Épinal (Vosges). Les sujets sont très variés mais généralement tournent autour de la religion, de l'histoire (Révolution française, batailles, uniformes militaires), ou tirés de romans à succès. L'imagerie d'Épinal prend ses origines dans l'imagerie, art populaire né au XVème siècle destiné principalement au public illettré des campagnes. À l'origine, l'image est gravée sur une planche de bois et l'impression s'effectue à l'aide d'une presse à bras. Elle est ensuite mise en couleur au moyen de pochoirs. Au XIXème siècle, on réalise à partir des bois gravés des moulages en plomb : les stéréotypes, qui permettent d'augmenter la production. En 1820, on passe à la lithographie, qui induit un changement de style radical, des dessins plus fins. En 1900, la mise en couleurs se fait toujours au pochoir, grâce à une machine qui peut colorier 300 images à l'heure, l'Aquatype. | [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]
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Book number: "26694
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