Librairie Le Feu Follet: Oeuvres d
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STRADANUS Johannes & GALLE Philippe & COLLAERT Adrian
La capture du tigre
S.n., s.l. fin XVIe début XVIIe, 34 X 25,5 cm (cuvette: 27,5 X 20,5 cm). , une feuille. Authentique gravure originale réalisée au burin d'après un dessin du XVIe siècle de Johannes Stradanus. Epreuve sur papier vergé filigrané, travail de la fin du XVIe ou du tout début du XVIIe siècle. Signatures des artistes dans la planche. Légende en latin dans la partie inférieure de la gravure. Traduction manuscrite d'une écriture ancienne sous la cuvette : ""Le chasseur prend les petits du tigre et met dans des trappes des miroirs qui représentent les petits qu'il a enlevés. Cette bête stupide croyant les voir effectivement, entre dans les filets et hurle, étant prise."". Filigrane visible par transparence. Les marges de la gravure ont été doublées à l'aide de petits morceaux de papier vergé ancien encollés sur les bords au dos de celles-ci, sinon bel état de conservation pour cette gravure très rare. Johannes Stradanus, dit Giovanni Stradano ou Jan van der Straet est un peintre et graveur flamand, né à Bruges en 1523 et mort à Florence le 11 février 1605. Après avoir commencé à apprendre la peinture auprès de son père, et suite au décès de ce dernier, il poursuit sa formation dans l'atelier de Maximiliaan Frank (de 1535 à 1537), puis dans celui de Pieter Aertsen à Anvers (de 1537 à 1540). En 1545, il est reçu franc-maître à la guilde des peintres anversois. Il commence alors un voyage à travers l'Europe : en France, puis en Italie, où il séjourne d'abord à Venise, avant de s'installer à Florence. Il y travaille pour Cosme Ier de Médicis et collabore avec Giorgio Vasari pour la décoration du Studiolo de François Ier de Médicis, et pour celle de la salle de Clément VII du Palazzo Vecchio. En 1565, il fait partie des équipes de peintres et de sculpteurs chargés, sous la direction de Giorgio Vasari, de réaliser le gigantesque décor prévu pour l'entrée dans Florence de Jeanne d'Autriche, à l'occasion de son mariage avec François Ier de Médicis. Grandement influencé par les maniéristes, dont Michel-Ange, Johannes Stradanus contribue au développement de la grande peinture d'histoire à l'italienne. Il peint plusieurs retables pour des églises florentines. Il séjourne aussi à Rome de 1550 à 1553 et à Naples en 1576. Après un séjour à Anvers en 1578, il consacre une grande partie de son activité à la gravure. Philippe Galle, né à Haarlem en 1537 et mort à Anvers en mars 1612, est un graveur flamand, membre d'une célèbre famille de graveurs. Il a pratiqué la gravure sur cuivre, le dessin, le commerce de gavures, l'édition et l'écriture. Il se forme auprès de Jérôme Cock, à Anvers, où il grave des dessins de Pieter Bruegel l'Ancien, notamment la série des Sept péchés capitaux. Il devient ensuite le graveur de Maarten van Heemskerck. À partir de 1557, il possède son propre atelier, qui sera fréquenté par ses fils, Théodore et Cornelius, ainsi que par son beau-fils, Adriaen Collaert, les frères Wierix, Hendrick Goltzius, Crispin de Passe l'Ancien et d'autres membres de la famille Collaert. Son atelier est au centre de la production de gravures anversoise. Philippe Galle a réalisé quelques-unes de ses œuvres les plus admirables sur des projets de Pieter Bruegel l'Ancien (L'Alchimiste, 1558), de Jan van der Straet, de Franz Floris (Les Filles de Loth) et de Gillis Congnet (Aenevm Saecvlvm et les quatre ages de l'humanité, 1575). Adrian Collaert, né à Anvers en 1565 et mort en 1618, fit partie d'une grande famille de graveurs. Formé dans l'atelier de son beau-père Philippe Galle, il commenca par la gravure sur cuivre avant de se spécialiser dans le burin. - S.n., s.l. fin XVIe début XVIIe, 34 X 25,5 cm (cuvette: 27,5 X 20,5 cm). , une feuille. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]
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Book number: 32532
€  250.00 [Appr.: US$ 267.81 | £UK 214.75 | JP¥ 41692]

 
STRADANUS Johannes & COLLAERT Adrian
La chasse aux porcs-épics
S.n., s.l. fin XVIe début XVIIe, 34 X 25,5 cm (cuvette: 27,5 X 20,5 cm). , une feuille. Authentique gravure originale réalisée au burin d'après un dessin du XVIe siècle de Johannes Stradanus. Epreuve sur papier vergé filigrané, travail de la fin du XVIe ou du tout début du XVIIe siècle. Signatures des artistes dans la planche. Légende en latin dans la partie inférieure de la gravure. Traduction manuscrite d'une écriture ancienne sous la cuvette : ""Dans l'hiver, le porc-épic est pris par des chiens ou dans des filets, ou lorsqu'il s'enfuit pour se cacher dans des trous obscurs, les chasseurs les poursuivent avec des rateaux et des hoyaux"". Filigrane visible par transparence. Les marges de la gravure ont été doublées à l'aide de petits morceaux de papier vergé ancien encollés sur les bords au dos de celles-ci, sinon bel état de conservation pour cette gravure très rare. Johannes Stradanus, dit Giovanni Stradano ou Jan van der Straet est un peintre et graveur flamand, né à Bruges en 1523 et mort à Florence le 11 février 1605. Après avoir commencé à apprendre la peinture auprès de son père, et suite au décès de ce dernier, il poursuit sa formation dans l'atelier de Maximiliaan Frank (de 1535 à 1537), puis dans celui de Pieter Aertsen à Anvers (de 1537 à 1540). En 1545, il est reçu franc-maître à la guilde des peintres anversois. Il commence alors un voyage à travers l'Europe : en France, puis en Italie, où il séjourne d'abord à Venise, avant de s'installer à Florence. Il y travaille pour Cosme Ier de Médicis et collabore avec Giorgio Vasari pour la décoration du Studiolo de François Ier de Médicis, et pour celle de la salle de Clément VII du Palazzo Vecchio. En 1565, il fait partie des équipes de peintres et de sculpteurs chargés, sous la direction de Giorgio Vasari, de réaliser le gigantesque décor prévu pour l'entrée dans Florence de Jeanne d'Autriche, à l'occasion de son mariage avec François Ier de Médicis. Grandement influencé par les maniéristes, dont Michel-Ange, Johannes Stradanus contribue au développement de la grande peinture d'histoire à l'italienne. Il peint plusieurs retables pour des églises florentines. Il séjourne aussi à Rome de 1550 à 1553 et à Naples en 1576. Après un séjour à Anvers en 1578, il consacre une grande partie de son activité à la gravure. Adrian Collaert, né à Anvers en 1565 et mort en 1618, fit partie d'une grande famille de graveurs. Formé dans l'atelier de son beau-père Philippe Galle, il commenca par la gravure sur cuivre avant de se spécialiser dans le burin. - S.n., s.l. fin XVIe début XVIIe, 34 X 25,5 cm (cuvette: 27,5 X 20,5 cm). , une feuille. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]
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Book number: 32497
€  250.00 [Appr.: US$ 267.81 | £UK 214.75 | JP¥ 41692]

 
STRADANUS Johannes & GALLE Philippe & COLLAERT Adrian
La chasse au bubale
S.n., s.l. fin XVIe début XVIIe, 34 X 25,5 cm (cuvette: 27,5 X 20,5 cm). , une feuille. Authentique gravure originale réalisée au burin d'après un dessin du XVIe siècle de Johannes Stradanus. Epreuve sur papier vergé filigrané, travail de la fin du XVIe ou du tout début du XVIIe siècle. Signatures des artistes dans la planche. Légende en latin dans la partie inférieure de la gravure. Traduction manuscrite d'une écriture ancienne sous la cuvette : ""Le bubale est une espèce de boeuf cruel et féroce. Les chasseurs pour le prendre le lassent en faisant courir et aboyer des chiens après lui, qui le mordent, jusqu'à ce qu'il tombe, n'en pouvant plus"". Filigrane visible par transparence. Les marges de la gravure ont été doublées à l'aide de petits morceaux de papier vergé ancien encollés sur les bords au dos de celles-ci, sinon bel état de conservation pour cette gravure très rare. Johannes Stradanus, dit Giovanni Stradano ou Jan van der Straet est un peintre et graveur flamand, né à Bruges en 1523 et mort à Florence le 11 février 1605. Après avoir commencé à apprendre la peinture auprès de son père, et suite au décès de ce dernier, il poursuit sa formation dans l'atelier de Maximiliaan Frank (de 1535 à 1537), puis dans celui de Pieter Aertsen à Anvers (de 1537 à 1540). En 1545, il est reçu franc-maître à la guilde des peintres anversois. Il commence alors un voyage à travers l'Europe : en France, puis en Italie, où il séjourne d'abord à Venise, avant de s'installer à Florence. Il y travaille pour Cosme Ier de Médicis et collabore avec Giorgio Vasari pour la décoration du Studiolo de François Ier de Médicis, et pour celle de la salle de Clément VII du Palazzo Vecchio. En 1565, il fait partie des équipes de peintres et de sculpteurs chargés, sous la direction de Giorgio Vasari, de réaliser le gigantesque décor prévu pour l'entrée dans Florence de Jeanne d'Autriche, à l'occasion de son mariage avec François Ier de Médicis. Grandement influencé par les maniéristes, dont Michel-Ange, Johannes Stradanus contribue au développement de la grande peinture d'histoire à l'italienne. Il peint plusieurs retables pour des églises florentines. Il séjourne aussi à Rome de 1550 à 1553 et à Naples en 1576. Après un séjour à Anvers en 1578, il consacre une grande partie de son activité à la gravure. Philippe Galle, né à Haarlem en 1537 et mort à Anvers en mars 1612, est un graveur flamand, membre d'une célèbre famille de graveurs. Il a pratiqué la gravure sur cuivre, le dessin, le commerce de gavures, l'édition et l'écriture. Il se forme auprès de Jérôme Cock, à Anvers, où il grave des dessins de Pieter Bruegel l'Ancien, notamment la série des Sept péchés capitaux. Il devient ensuite le graveur de Maarten van Heemskerck. À partir de 1557, il possède son propre atelier, qui sera fréquenté par ses fils, Théodore et Cornelius, ainsi que par son beau-fils, Adriaen Collaert, les frères Wierix, Hendrick Goltzius, Crispin de Passe l'Ancien et d'autres membres de la famille Collaert. Son atelier est au centre de la production de gravures anversoise. Philippe Galle a réalisé quelques-unes de ses œuvres les plus admirables sur des projets de Pieter Bruegel l'Ancien (L'Alchimiste, 1558), de Jan van der Straet, de Franz Floris (Les Filles de Loth) et de Gillis Congnet (Aenevm Saecvlvm et les quatre ages de l'humanité, 1575). Adrian Collaert, né à Anvers en 1565 et mort en 1618, fit partie d'une grande famille de graveurs. Formé dans l'atelier de son beau-père Philippe Galle, il commenca par la gravure sur cuivre avant de se spécialiser dans le burin. - S.n., s.l. fin XVIe début XVIIe, 34 X 25,5 cm (cuvette: 27,5 X 20,5 cm). , une feuille. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]
Librairie Le Feu FolletProfessional seller
Book number: 32501
€  250.00 [Appr.: US$ 267.81 | £UK 214.75 | JP¥ 41692]

 
STRADANUS Johannes & GALLE Philippe & COLLAERT Adrian
La chasse aux chameaux
S.n., s.l. fin XVIe début XVIIe, 34 X 25,5 cm (cuvette: 27,5 X 20,5 cm). , une feuille. Authentique gravure originale réalisée au burin d'après un dessin du XVIe siècle de Johannes Stradanus. Epreuve sur papier vergé filigrané, travail de la fin du XVIe ou du tout début du XVIIe siècle. Signatures des artistes dans la planche. Légende en latin dans la partie inférieure de la gravure. Traduction manuscrite d'une écriture ancienne sous la cuvette : ""On dit que la Barbarie produit de très bons chameaux que chassent les soldats de la marine pressés par la faim. Cette viande quoique très dure les rassasie."". Filigrane visible par transparence. Les marges de la gravure ont été doublées à l'aide de petits morceaux de papier vergé ancien encollés sur les bords au dos de celles-ci, sinon bel état de conservation pour cette gravure très rare. Johannes Stradanus, dit Giovanni Stradano ou Jan van der Straet est un peintre et graveur flamand, né à Bruges en 1523 et mort à Florence le 11 février 1605. Après avoir commencé à apprendre la peinture auprès de son père, et suite au décès de ce dernier, il poursuit sa formation dans l'atelier de Maximiliaan Frank (de 1535 à 1537), puis dans celui de Pieter Aertsen à Anvers (de 1537 à 1540). En 1545, il est reçu franc-maître à la guilde des peintres anversois. Il commence alors un voyage à travers l'Europe : en France, puis en Italie, où il séjourne d'abord à Venise, avant de s'installer à Florence. Il y travaille pour Cosme Ier de Médicis et collabore avec Giorgio Vasari pour la décoration du Studiolo de François Ier de Médicis, et pour celle de la salle de Clément VII du Palazzo Vecchio. En 1565, il fait partie des équipes de peintres et de sculpteurs chargés, sous la direction de Giorgio Vasari, de réaliser le gigantesque décor prévu pour l'entrée dans Florence de Jeanne d'Autriche, à l'occasion de son mariage avec François Ier de Médicis. Grandement influencé par les maniéristes, dont Michel-Ange, Johannes Stradanus contribue au développement de la grande peinture d'histoire à l'italienne. Il peint plusieurs retables pour des églises florentines. Il séjourne aussi à Rome de 1550 à 1553 et à Naples en 1576. Après un séjour à Anvers en 1578, il consacre une grande partie de son activité à la gravure. Philippe Galle, né à Haarlem en 1537 et mort à Anvers en mars 1612, est un graveur flamand, membre d'une célèbre famille de graveurs. Il a pratiqué la gravure sur cuivre, le dessin, le commerce de gavures, l'édition et l'écriture. Il se forme auprès de Jérôme Cock, à Anvers, où il grave des dessins de Pieter Bruegel l'Ancien, notamment la série des Sept péchés capitaux. Il devient ensuite le graveur de Maarten van Heemskerck. À partir de 1557, il possède son propre atelier, qui sera fréquenté par ses fils, Théodore et Cornelius, ainsi que par son beau-fils, Adriaen Collaert, les frères Wierix, Hendrick Goltzius, Crispin de Passe l'Ancien et d'autres membres de la famille Collaert. Son atelier est au centre de la production de gravures anversoise. Philippe Galle a réalisé quelques-unes de ses œuvres les plus admirables sur des projets de Pieter Bruegel l'Ancien (L'Alchimiste, 1558), de Jan van der Straet, de Franz Floris (Les Filles de Loth) et de Gillis Congnet (Aenevm Saecvlvm et les quatre ages de l'humanité, 1575). Adrian Collaert, né à Anvers en 1565 et mort en 1618, fit partie d'une grande famille de graveurs. Formé dans l'atelier de son beau-père Philippe Galle, il commenca par la gravure sur cuivre avant de se spécialiser dans le burin. - S.n., s.l. fin XVIe début XVIIe, 34 X 25,5 cm (cuvette: 27,5 X 20,5 cm). , une feuille. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]
Librairie Le Feu FolletProfessional seller
Book number: 32521
€  250.00 [Appr.: US$ 267.81 | £UK 214.75 | JP¥ 41692]

 
STRADANUS Johannes & GALLE Philippe & COLLAERT Adrian
La mésaventure du chasseur
S.n., s.l. fin XVIe début XVIIe, 34 X 25,5 cm (cuvette: 27,5 X 20,5 cm). , une feuille. Authentique gravure originale réalisée au burin d'après un dessin du XVIe siècle de Johannes Stradanus. Epreuve sur papier vergé filigrané, travail de la fin du XVIe ou du tout début du XVIIe siècle. Signatures des artistes dans la planche. Légende en latin dans la partie inférieure de la gravure. Traduction manuscrite d'une écriture ancienne sous la cuvette : ""Souvent un chasseur tombe sans prendre garde dans des cavernes ou des grottes couvertes d'herbes par dessus d'où ses compagnons ne peuvent le retirer, mais il meurt malheureusement et demeure la pature des serpents qui y sont et des hydres "". Filigrane visible par transparence. Les marges de la gravure ont été doublées à l'aide de petits morceaux de papier vergé ancien encollés sur les bords au dos de celles-ci, sinon bel état de conservation pour cette gravure très rare. Johannes Stradanus, dit Giovanni Stradano ou Jan van der Straet est un peintre et graveur flamand, né à Bruges en 1523 et mort à Florence le 11 février 1605. Après avoir commencé à apprendre la peinture auprès de son père, et suite au décès de ce dernier, il poursuit sa formation dans l'atelier de Maximiliaan Frank (de 1535 à 1537), puis dans celui de Pieter Aertsen à Anvers (de 1537 à 1540). En 1545, il est reçu franc-maître à la guilde des peintres anversois. Il commence alors un voyage à travers l'Europe : en France, puis en Italie, où il séjourne d'abord à Venise, avant de s'installer à Florence. Il y travaille pour Cosme Ier de Médicis et collabore avec Giorgio Vasari pour la décoration du Studiolo de François Ier de Médicis, et pour celle de la salle de Clément VII du Palazzo Vecchio. En 1565, il fait partie des équipes de peintres et de sculpteurs chargés, sous la direction de Giorgio Vasari, de réaliser le gigantesque décor prévu pour l'entrée dans Florence de Jeanne d'Autriche, à l'occasion de son mariage avec François Ier de Médicis. Grandement influencé par les maniéristes, dont Michel-Ange, Johannes Stradanus contribue au développement de la grande peinture d'histoire à l'italienne. Il peint plusieurs retables pour des églises florentines. Il séjourne aussi à Rome de 1550 à 1553 et à Naples en 1576. Après un séjour à Anvers en 1578, il consacre une grande partie de son activité à la gravure. Philippe Galle, né à Haarlem en 1537 et mort à Anvers en mars 1612, est un graveur flamand, membre d'une célèbre famille de graveurs. Il a pratiqué la gravure sur cuivre, le dessin, le commerce de gavures, l'édition et l'écriture. Il se forme auprès de Jérôme Cock, à Anvers, où il grave des dessins de Pieter Bruegel l'Ancien, notamment la série des Sept péchés capitaux. Il devient ensuite le graveur de Maarten van Heemskerck. À partir de 1557, il possède son propre atelier, qui sera fréquenté par ses fils, Théodore et Cornelius, ainsi que par son beau-fils, Adriaen Collaert, les frères Wierix, Hendrick Goltzius, Crispin de Passe l'Ancien et d'autres membres de la famille Collaert. Son atelier est au centre de la production de gravures anversoise. Philippe Galle a réalisé quelques-unes de ses œuvres les plus admirables sur des projets de Pieter Bruegel l'Ancien (L'Alchimiste, 1558), de Jan van der Straet, de Franz Floris (Les Filles de Loth) et de Gillis Congnet (Aenevm Saecvlvm et les quatre ages de l'humanité, 1575). Adrian Collaert, né à Anvers en 1565 et mort en 1618, fit partie d'une grande famille de graveurs. Formé dans l'atelier de son beau-père Philippe Galle, il commenca par la gravure sur cuivre avant de se spécialiser dans le burin. - S.n., s.l. fin XVIe début XVIIe, 34 X 25,5 cm (cuvette: 27,5 X 20,5 cm). , une feuille. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]
Librairie Le Feu FolletProfessional seller
Book number: 32522
€  250.00 [Appr.: US$ 267.81 | £UK 214.75 | JP¥ 41692]

 
[FALLET René] AGIP
[PHOTOGRAPHIE] Portrait photographique de René Fallet
décembre 1964, 13x18,2cm, une photographie. Photographie de presse représentant René Fallet, tirage argentique d'époque en noir et blanc. Annotations au crayon au dos du cliché et tampon de l'agence photographique Agip - Robert Cohen. Très beau portrait réalisé après le résultat du Prix Interallié que Fallet remporta pour son roman Paris au mois d'août en 1954. - décembre 1964, 13x18,2cm, une photographie. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]
Librairie Le Feu FolletProfessional seller
Book number: 76057
€  150.00 [Appr.: US$ 160.69 | £UK 129 | JP¥ 25015]

 
(HEREDIA José Maria de) LAURENS Paul-Albert
""Le bain des nymphes"" - Lithographie originale sur Japon - L'Estampe Moderne
Imprimerie Champenois pour CH. Masson & H. Piazza, Paris (Janvier 1898), sujet : 32x22cm, planche : 55x40,8cm, une feuille et une serpente. Rare lithographie originale, exécutée par Paul Albert Laurens pour L'Estampe Moderne, série numéro 9 publiée en janvier 1898. Une des 50 épreuves de grand luxe tirées sur Japon à grandes marges, papier velin contrecollé sur Japon, signature de l'artiste dans la planche, timbre à sec de l'éditeur représentant un profil d'enfant en marge inférieure, tampon numéroté du tirage de luxe au dos ; gravure précédée d'une serpente légendée du nom de l'artiste, du titre et d'un poème ; serpente vierge. Lithographie inspirée du poème Les trophées de José-Maria de Heredia, reproduit sur la serpente de l'estampe. Magnifique publication mensuelle française éditée entre mai 1897 et avril 1899, L'Estampe moderne se constitue de chromolithographies inédites qui, contrairement à d'autres revues comme Les Maîtres de l'Affiche et tel qu'il est stipulé sur les serpentes, ont été réalisées spécialement par chaque artiste pour la revue. Ce sont ainsi 100 estampes qui paraissent au total, couvrant les courants artistiques majeurs de la fin du XIXème siècle : Symbolisme, Art Nouveau, Préraphaélites, Orientalistes et Belle Epoque. Chaque livraison de quatre estampes est tirée à 2000 exemplaires vendus 3,50F et 100 sur papier Japon proposés à 10F. Henri Piazza prévoit également un tirage confidentiel de très grand luxe : 50 exemplaires sur Japon à grandes marges et 50 en noir sur Chine au prix considérable de 30F. Cette estampe d'un beau format est superbement imprimée sur le plus prestigieux des papiers : le Japon. Epais, soyeux, satiné et nacré, il contribue à faire de chaque page une œuvre à part entière. Sa qualité d'absorption de l'encre et son affinité avec les couleurs en font également le support idéal de ces très belles lithographies. L'intérêt des collectionneurs français pour les affiches artistiques s'amplifie au début des années 1890. Octave Uzanne, pour qualifier cette fièvre invente le terme d'« affichomanie ». L'affiche, à l'origine populaire et placardée dans les rues de la capitale, devient alors objet d'art et son support éphémère se fait précieux et voué à la conservation. Piazza décide de soustraire l'affiche à sa vocation publicitaire et de l'élever au rang d'œuvre d'art à part entière au même titre que le livre illustré de luxe. Il compose ainsi une collection prestigieuse d'œuvres entièrement originales, par les artistes européens les plus en vue du moment : Georges de Feure, Eugène Grasset, Henri Detouche, Emile Berchmans, Louis Rhead, Gaston de Latenay, Lucien Lévy-Dhurmer, Gustave-Max Stevens, Charles Doudelet, Hans Christiansen, Henri Fantin-Latour, Steinlen, Ibels, Engels, Willette, Henri Meunier, Evenepoël, Bellery-Desfontaines, Charles Léandre, etc. Bel exemplaire dans le style Art Nouveau. - Imprimerie Champenois pour CH. Masson & H. Piazza, Paris (Janvier 1898), sujet : 32x22cm, planche : 55x40,8cm, une feuille et une serpente. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]
Librairie Le Feu FolletProfessional seller
Book number: 74285
€  1800.00 [Appr.: US$ 1928.23 | £UK 1545.75 | JP¥ 300182]

 
(HEREDIA José Maria de) LAURENS Paul-Albert
""Le bain des nymphes"" - Lithographie originale sur Chine - L'Estampe Moderne
Imprimerie Champenois pour CH. Masson & H. Piazza, Paris (Janvier 1898), sujet : 27x35cm, planche : 40,8x55cm, une feuille. Rare lithographie originale, exécutée par Paul Albert Laurens pour L'Estampe Moderne, série numéro 9 publiée en janvier 1898. Une des 50 épreuves de grand luxe tirées sur Chine à grandes marges, signature de l'artiste dans la planche, timbre à sec de l'éditeur représentant un profil d'enfant en marge inférieure, contrecollée sur un feuillet de papier vélin avec au dos le tampon numéroté du tirage de luxe, pâles rousseurs marginales. Lithographie inspirée du poème Les trophées de José-Maria de Heredia. Magnifique publication mensuelle française éditée entre mai 1897 et avril 1899, L'Estampe moderne se constitue de chromolithographies inédites qui, contrairement à d'autres revues comme Les Maîtres de l'Affiche et tel qu'il est stipulé sur les serpentes, ont été réalisées spécialement par chaque artiste pour la revue. Ce sont ainsi 100 estampes qui paraissent au total, couvrant les courants artistiques majeurs de la fin du XIXème siècle : Symbolisme, Art Nouveau, Préraphaélites, Orientalistes et Belle Epoque. Chaque livraison de quatre estampes est tirée à 2000 exemplaires vendus 3,50F et 100 sur papier Japon proposés à 10F. Henri Piazza prévoit également un tirage confidentiel de très grand luxe : 50 exemplaires sur Japon à grandes marges et 50 en noir sur Chine au prix considérable de 30F. Cette estampe d'un beau format est superbement imprimée sur l'un des plus prestigieux papiers : le Chine. « Malgré toutes ses qualités, le papier de Chine, trop inconsistant, doit sa réputation, non pas à sa propre beauté, mais bien à ses affinités particulières avec l'encre d'impression. Son tissu, lisse et mou tout ensemble, est plus apte qu'aucun autre à recevoir un beau tirage. Cette propriété fait rechercher le papier de Chine pour le tirage des gravures... » (Anatole France). L'intérêt des collectionneurs français pour les affiches artistiques s'amplifie au début des années 1890. Octave Uzanne, pour qualifier cette fièvre invente le terme d'« affichomanie ». L'affiche, à l'origine populaire et placardée dans les rues de la capitale, devient alors objet d'art et son support éphémère se fait précieux et voué à la conservation. Piazza décide de soustraire l'affiche à sa vocation publicitaire et de l'élever au rang d'œuvre d'art à part entière au même titre que le livre illustré de luxe. Il compose ainsi une collection prestigieuse d'œuvres entièrement originales, par les artistes européens les plus en vue du moment : Georges de Feure, Eugène Grasset, Henri Detouche, Emile Berchmans, Louis Rhead, Gaston de Latenay, Lucien Lévy-Dhurmer, Gustave-Max Stevens, Charles Doudelet, Hans Christiansen, Henri Fantin-Latour, Steinlen, Ibels, Engels, Willette, Henri Meunier, Evenepoël, Bellery-Desfontaines, Charles Léandre, etc. Bel exemplaire dans le style Art Nouveau. - Imprimerie Champenois pour CH. Masson & H. Piazza, Paris (Janvier 1898), sujet : 27x35cm, planche : 40,8x55cm, une feuille. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]
Librairie Le Feu FolletProfessional seller
Book number: 74287
€  1200.00 [Appr.: US$ 1285.49 | £UK 1030.5 | JP¥ 200121]

 
GIACOMETTI Alberto
Eau-forte originale
Louis Broder, Paris s.d. (1965), 20x24,1cm, une feuille. Eau-forte originale de Giacometti imprimée sur japon et réalisée pour l'ouvrage Feuilles éparses en hommage à René Crevel. Très bel exemplaire. - Louis Broder, Paris s.d. (1965), 20x24,1cm, une feuille. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]
Librairie Le Feu FolletProfessional seller
Book number: 77679
€  1500.00 [Appr.: US$ 1606.86 | £UK 1288.25 | JP¥ 250152]

 
(WORTH Charles Frederick) RZEWUSKI Alexander
Après la danse. Robe de dîners, de Worth (pl.7, La Gazette du Bon ton, 1921 n°1)
Lucien Vogel éditeur, Paris 1921, 18x24cm, une feuille. Estampe originale en couleur richement rehaussée au palladium, tirée sur papier vergé, signée en bas à gauche de la planche. Gravure originale réalisée pour l'illustration de La Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications « s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes » (Françoise Tétart-Vittu « La Gazette du bon ton » in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sœur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors « Art, modes et frivolités ». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef : « En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France. » (« Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel » in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes : André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée : Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Lucien Vogel éditeur, Paris 1921, 18x24cm, une feuille. [ENGLISH TRANSLATION FOLLOWS] Original color print heightened with palladium, printed on vergé paper, signed in the plate. An original print used to illustrate the Gazette du bon ton, one of the most attractive and influential 20th century fashion magazines, featuring the talents of French artists and other contributors from the burgeoning Art Deco movement. A celebrated fashion magazine established in 1912 by Lucien Vogel, La Gazette du bon ton appeared until 1925, with a hiatus from 1915 to 1920 due to the war (the editor-in-chief having been called up for service). It consisted of 69 issues printed in only 2,000 copies each and notably illustrated with 573 color plates and 148 sketches of the models of the great designers. Right from the start, this sumptuous publication ""was aimed at bibliophiles and fashionable society,"" (Françoise Tétart-Vittu, ""La Gazette du bon ton"", in Dictionnaire de la mode, 2016) and was printed on fine vergé paper using a type cut specially for the magazine by Georges Peignot, known as Cochin, later used (in 1946) by Christian Dior. The prints were made using stencils, heightened in colors, some highlighted in gold or palladium. The story began in 1912, when Lucien Vogel, a man of the world involved in fashion (he had already been part of the fashion magazine Femina) decided, with his wife Cosette de Brunhoff - the sister of Jean, creator of Babar - to set up the Gazette du bon ton, subtitled at the time: ""Art, fashion, frivolities."" Georges Charensol noted the reasoning of the editor-in-chief: ""'In 1910,' he observed, 'there was no really artistic fashion magazine, nothing representative of the spirit of the time. My dream was therefore to make a luxury magazine with truly modern artists...I was assured of success, because when it comes to fashion, no country on earth can compete with France.'"" (""Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel"" in Les Nouvelles littéraires, no. 133, May 1925). The magazine was immediately successful, not only in France but also in the United States and Latin America. At first, Vogel put together a team of seven artists: André-Édouard Marty and Pierre Brissaud, followed by Georges Lepape and Dammicourt, as well as eventually his friends from school and the School of Fine Arts, like George Barbier, Bernard Boutet de Monvel and Charles Martin. Other talented people soon came flocking to join the team: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Chalres Martin, Maggie Salcedo. These artist, mostly unknown when Lucien Vogel sought them out, later became emblematic and sought-after artistic figures. It was also they who worked on the advertising drawings for the Gazette. The plates put the spotlight on, and celebrate, dresses by seven designers of the age: Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet and Doucet. The designers provided exclusive models for each issue. Nonetheless, some of the illustrations are not based on real models, but simply on the illustrator's conception of the fashion of the day. The Gazette du bon ton was an important step in the history of fashion. Combining aesthetic demands with the physical whole, it brought together - for the first time - the great talents of the artistic, literary, and fashion worlds; and imposed, through this alchemy, a completely new image of women: slender, independent and daring, which was shared by the new generation of designers, including Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas, and so on... Taken over in 1920 by Condé Montrose Nast, the Gazette du bon ton was an important influence on the new layout and aesthetics of that ""little dying paper"" that Nast had bought a few years earlier: Vogue.
Librairie Le Feu FolletProfessional seller
Book number: 54843
€  120.00 [Appr.: US$ 128.55 | £UK 103.25 | JP¥ 20012]

 
(WORTH Charles Frederick) RZEWUSKI Alexander
L'Epousée aux dentelles. Robe de mariée, de Worth (pl.14, La Gazette du Bon ton, 1921 n°2)
Lucien Vogel éditeur, Paris 1921, 18x24cm, une feuille. Estampe originale en couleur finement rehaussée au palladium, tirée sur papier vergé, signée en bas à droite de la planche. Gravure originale réalisée pour l'illustration de La Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications « s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes » (Françoise Tétart-Vittu « La Gazette du bon ton » in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sœur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors « Art, modes et frivolités ». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef : « En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France. » (« Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel » in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes : André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée : Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Lucien Vogel éditeur, Paris 1921, 18x24cm, une feuille. [ENGLISH TRANSLATION FOLLOWS] Original color print heightened with palladium, printed on vergé paper, signed in the plate. An original print used to illustrate the Gazette du bon ton, one of the most attractive and influential 20th century fashion magazines, featuring the talents of French artists and other contributors from the burgeoning Art Deco movement. A celebrated fashion magazine established in 1912 by Lucien Vogel, La Gazette du bon ton appeared until 1925, with a hiatus from 1915 to 1920 due to the war (the editor-in-chief having been called up for service). It consisted of 69 issues printed in only 2,000 copies each and notably illustrated with 573 color plates and 148 sketches of the models of the great designers. Right from the start, this sumptuous publication ""was aimed at bibliophiles and fashionable society,"" (Françoise Tétart-Vittu, ""La Gazette du bon ton"", in Dictionnaire de la mode, 2016) and was printed on fine vergé paper using a type cut specially for the magazine by Georges Peignot, known as Cochin, later used (in 1946) by Christian Dior. The prints were made using stencils, heightened in colors, some highlighted in gold or palladium. The story began in 1912, when Lucien Vogel, a man of the world involved in fashion (he had already been part of the fashion magazine Femina) decided, with his wife Cosette de Brunhoff - the sister of Jean, creator of Babar - to set up the Gazette du bon ton, subtitled at the time: ""Art, fashion, frivolities."" Georges Charensol noted the reasoning of the editor-in-chief: ""'In 1910,' he observed, 'there was no really artistic fashion magazine, nothing representative of the spirit of the time. My dream was therefore to make a luxury magazine with truly modern artists...I was assured of success, because when it comes to fashion, no country on earth can compete with France.'"" (""Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel"" in Les Nouvelles littéraires, no. 133, May 1925). The magazine was immediately successful, not only in France but also in the United States and Latin America. At first, Vogel put together a team of seven artists: André-Édouard Marty and Pierre Brissaud, followed by Georges Lepape and Dammicourt, as well as eventually his friends from school and the School of Fine Arts, like George Barbier, Bernard Boutet de Monvel and Charles Martin. Other talented people soon came flocking to join the team: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Chalres Martin, Maggie Salcedo. These artist, mostly unknown when Lucien Vogel sought them out, later became emblematic and sought-after artistic figures. It was also they who worked on the advertising drawings for the Gazette. The plates put the spotlight on, and celebrate, dresses by seven designers of the age: Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet and Doucet. The designers provided exclusive models for each issue. Nonetheless, some of the illustrations are not based on real models, but simply on the illustrator's conception of the fashion of the day. The Gazette du bon ton was an important step in the history of fashion. Combining aesthetic demands with the physical whole, it brought together - for the first time - the great talents of the artistic, literary, and fashion worlds; and imposed, through this alchemy, a completely new image of women: slender, independent and daring, which was shared by the new generation of designers, including Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas, and so on... Taken over in 1920 by Condé Montrose Nast, the Gazette du bon ton was an important influence on the new layout and aesthetics of that ""little dying paper"" that Nast had bought a few years earlier: Vogue.
Librairie Le Feu FolletProfessional seller
Book number: 54850
€  120.00 [Appr.: US$ 128.55 | £UK 103.25 | JP¥ 20012]

 
(WORTH Charles Frederick) RZEWUSKI Alexander
L'Epousée aux dentelles. Robe de mariée, de Worth (pl.14, La Gazette du Bon ton, 1921 n°2)
Lucien Vogel éditeur, Paris 1921, 18x24cm, une feuille. Estampe originale en couleur finement rehaussée au palladium, tirée sur papier vergé, signée en bas à droite de la planche. Gravure originale réalisée pour l'illustration de La Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications « s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes » (Françoise Tétart-Vittu « La Gazette du bon ton » in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sœur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors « Art, modes et frivolités ». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef : « En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France. » (« Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel » in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes : André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée : Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Lucien Vogel éditeur, Paris 1921, 18x24cm, une feuille. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]
Librairie Le Feu FolletProfessional seller
Book number: 57596
€  120.00 [Appr.: US$ 128.55 | £UK 103.25 | JP¥ 20012]

 
(GONCOURT Edmond & Jules de) STEINLEN Théophile Alexandre
""Bal de barrière"" - Lithographie originale sur Chine - L'Estampe Moderne
Imprimerie Champenois pour CH. Masson & H. Piazza, Paris (Juin) 1898, sujet : 34,5x21cm, planche : 55x40,8cm, une feuille. Rare lithographie originale, exécutée par Théophile Alexandre Steinlen pour L'Estampe Moderne, série numéro 14 publiée en juin 1898. Une des 50 épreuves de grand luxe tirées sur Chine à grandes marges, signature de l'artiste et date dans la planche, timbre à sec de l'éditeur représentant un profil d'enfant en marge inférieure, contrecollée sur un feuillet de papier vélin avec au dos le tampon numéroté du tirage de luxe, quelques rousseurs. Lithographie inspirée d'un extrait de Germinie Lacerteux des Goncourt. Magnifique publication mensuelle française éditée entre mai 1897 et avril 1899, L'Estampe moderne se constitue de chromolithographies inédites qui, contrairement à d'autres revues comme Les Maîtres de l'Affiche et tel qu'il est stipulé sur les serpentes, ont été réalisées spécialement par chaque artiste pour la revue. Ce sont ainsi 100 estampes qui paraissent au total, couvrant les courants artistiques majeurs de la fin du XIXème siècle : Symbolisme, Art Nouveau, Préraphaélites, Orientalistes et Belle Epoque. Chaque livraison de quatre estampes est tirée à 2000 exemplaires vendus 3,50F et 100 sur papier Japon proposés à 10F. Henri Piazza prévoit également un tirage confidentiel de très grand luxe : 50 exemplaires sur Japon à grandes marges et 50 en noir sur Chine au prix considérable de 30F. Cette estampe d'un beau format est superbement imprimée sur l'un des plus prestigieux papiers : le Chine. « Malgré toutes ses qualités, le papier de Chine, trop inconsistant, doit sa réputation, non pas à sa propre beauté, mais bien à ses affinités particulières avec l'encre d'impression. Son tissu, lisse et mou tout ensemble, est plus apte qu'aucun autre à recevoir un beau tirage. Cette propriété fait rechercher le papier de Chine pour le tirage des gravures... » (Anatole France). L'intérêt des collectionneurs français pour les affiches artistiques s'amplifie au début des années 1890. Octave Uzanne, pour qualifier cette fièvre invente le terme d'« affichomanie ». L'affiche, à l'origine populaire et placardée dans les rues de la capitale, devient alors objet d'art et son support éphémère se fait précieux et voué à la conservation. Piazza décide de soustraire l'affiche à sa vocation publicitaire et de l'élever au rang d'œuvre d'art à part entière au même titre que le livre illustré de luxe. Il compose ainsi une collection prestigieuse d'œuvres entièrement originales, par les artistes européens les plus en vue du moment : Georges de Feure, Eugène Grasset, Henri Detouche, Emile Berchmans, Louis Rhead, Gaston de Latenay, Lucien Lévy-Dhurmer, Gustave-Max Stevens, Charles Doudelet, Hans Christiansen, Henri Fantin-Latour, Steinlen, Ibels, Engels, Willette, Henri Meunier, Evenepoël, Bellery-Desfontaines, Charles Léandre, etc. Bel exemplaire. - Imprimerie Champenois pour CH. Masson & H. Piazza, Paris (Juin) 1898, sujet : 34,5x21cm, planche : 55x40,8cm, une feuille. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]
Librairie Le Feu FolletProfessional seller
Book number: 74859
€  600.00 [Appr.: US$ 642.74 | £UK 515.25 | JP¥ 100061]

 
GONCOURT Edmond & Jules de STEINLEN Théophile Alexandre
""Bal de barrière"" - Lithographie originale sur Japon - L'Estampe Moderne
Imprimerie Champenois pour CH. Masson & H. Piazza, Paris (Juin) 1898, sujet : 19,5x36cm, planche : 40,8x55cm, une feuille. Rare lithographie originale, exécutée par Théophile Alexandre Steinlen pour L'Estampe Moderne, série numéro 14 publiée en juin 1898. Une des 50 épreuves de grand luxe tirées sur Japon à grandes marges, signature de l'artiste et date dans la planche, timbre à sec de l'éditeur représentant un profil d'enfant en marge inférieure, avec au dos le tampon numéroté du tirage de luxe, quelques rousseurs. Lithographie inspirée d'un extrait de Germinie Lacerteux des Goncourt. Magnifique publication mensuelle française éditée entre mai 1897 et avril 1899, L'Estampe moderne se constitue de chromolithographies inédites qui, contrairement à d'autres revues comme Les Maîtres de l'Affiche et tel qu'il est stipulé sur les serpentes, ont été réalisées spécialement par chaque artiste pour la revue. Ce sont ainsi 100 estampes qui paraissent au total, couvrant les courants artistiques majeurs de la fin du XIXème siècle : Symbolisme, Art Nouveau, Préraphaélites, Orientalistes et Belle Epoque. Chaque livraison de quatre estampes est tirée à 2000 exemplaires vendus 3,50F et 100 sur papier Japon proposés à 10F. Henri Piazza prévoit également un tirage confidentiel de très grand luxe : 50 exemplaires sur Japon à grandes marges et 50 en noir sur Chine au prix considérable de 30F. Cette estampe d'un beau format est superbement imprimée sur l'un des plus prestigieux papiers : le Chine. « Malgré toutes ses qualités, le papier de Chine, trop inconsistant, doit sa réputation, non pas à sa propre beauté, mais bien à ses affinités particulières avec l'encre d'impression. Son tissu, lisse et mou tout ensemble, est plus apte qu'aucun autre à recevoir un beau tirage. Cette propriété fait rechercher le papier de Chine pour le tirage des gravures... » (Anatole France). L'intérêt des collectionneurs français pour les affiches artistiques s'amplifie au début des années 1890. Octave Uzanne, pour qualifier cette fièvre invente le terme d'« affichomanie ». L'affiche, à l'origine populaire et placardée dans les rues de la capitale, devient alors objet d'art et son support éphémère se fait précieux et voué à la conservation. Piazza décide de soustraire l'affiche à sa vocation publicitaire et de l'élever au rang d'œuvre d'art à part entière au même titre que le livre illustré de luxe. Il compose ainsi une collection prestigieuse d'œuvres entièrement originales, par les artistes européens les plus en vue du moment : Georges de Feure, Eugène Grasset, Henri Detouche, Emile Berchmans, Louis Rhead, Gaston de Latenay, Lucien Lévy-Dhurmer, Gustave-Max Stevens, Charles Doudelet, Hans Christiansen, Henri Fantin-Latour, Steinlen, Ibels, Engels, Willette, Henri Meunier, Evenepoël, Bellery-Desfontaines, Charles Léandre, etc. Bel exemplaire. - Imprimerie Champenois pour CH. Masson & H. Piazza, Paris (Juin) 1898, sujet : 19,5x36cm, planche : 40,8x55cm, une feuille. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]
Librairie Le Feu FolletProfessional seller
Book number: 75859
€  800.00 [Appr.: US$ 856.99 | £UK 687 | JP¥ 133414]

 
CHARPENTIER Alexandre
Lithographie originale en couleurs : ""Grande tuilerie d'Ivry"" - Les Maîtres de l'Affiche - planche 131
Les Maîtres de l'Affiche - imprimerie Chaix, Paris 1898, 29x39,9cm, une affiche lithographiée sur vélin fin. Lithographie originale en couleurs tirée sur vélin fin. Timbre à sec de l'imprimeur en bas à droite de la planche. Superbe publication mensuelle française, les Maîtres de l'Affiche, parut entre 1895 et 1900 à l'initiative de Jules Chéret. Chaque numéro de la revue comprend quatre affiches reproduites au format cloche et en chromolithographie présentant pour chacune un timbre à sec d'authentification. Très bel exemplaire de cette affiche faisant la promotion des grès Emile Muller d'Ivry. - Les Maîtres de l'Affiche - imprimerie Chaix, Paris 1898, 29x39,9cm, une affiche lithographiée sur vélin fin. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]
Librairie Le Feu FolletProfessional seller
Book number: 73225
€  280.00 [Appr.: US$ 299.95 | £UK 240.5 | JP¥ 46695]

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